rébellion

Au surlendemain de la rébellion avortée de Wagner, curieusement rien n'a changé dans les rues de Moscou mais les questionnements se font toujours plus nombreux.

Invité de RTL, ce lundi 26 juin, le journaliste Gallagher Fenwick assure que le dirigeant russe est "affaibli" après l'acte de rébellion, finalement avorté, du groupe paramilitaire Wagner.

Le chef du groupe Wagner, qui a arrêté sa rébellion contre le pouvoir russe, va partir au Bélarus et ne sera pas visé par la justice. Ses combattants ne seront pas poursuivis.

Evguéni Prigojine, le chef du groupe Wagner, a annoncé samedi que ses hommes "rentrent" dans leurs camps pour éviter un bain de sang. Les paramilitaires, entrés en rébellion, marchaient sur Moscou.

Selon Philippe Comte, invité de RTL samedi 24 juin, le chef de la milice Wagner veut renverser deux personnes précises.

Plus de 180.000 personnes sont mortes depuis le début du conflit en Syrie, dont un tiers de civils.

Les corps de combattants de l'État islamique en Irak et au Levant (EIIL) ont été exposés et traînés dans les rues d'une ville irakienne.

Des tirs d'armes lourdes ont retenti ce dimanche matin à proximité de Tripoli, où des affrontements ont éclaté entre groupes armés pour reprendre le contrôle de l'aéroport.

Trois groupes armés ont pris d'autres villes du nord du Mali après des affrontements leur ayant permis de se rendre maîtres de Kidal le même jour.

Les rebelles ont commencé à se retirer de la Vieille ville de Homs, dans le cadre d'un accord conclu avec le régime syrien.

Des centaines de civils ont été massacrés par les rebelle sud-soudanais sur une base ethnique, accusent les Nations Unies.

Des ex-rebelles Séléka qui avaient accepté d'être cantonnés dans une ville située à 180 km de Bangui se sont enfuis.