Des supporters déjà dans les arrêts de jeu de leur voyage. Dernière ballade sur la corniche de Doha, les valises sont prêtes. Décollage demain, mais une dernière mission ce soir, pour les Corsaires de Dunkerque, pousser dans les tribunes pour cette affiche un peu surprenante : "La Pologne, ça sera un peu moins marrant que le Mexique ou l'Argentine dans les tribunes. On est content car on va nous entendre. Je suis persuadé qu'on va laminer les Polonais et qu'on va en mettre 3 ou 4", indique Yannick Vanet, capitaine du groupe.
Tout comme la France, la Pologne possède un attaquant de classe mondiale : Robert Lewandowski, "une machine à marquer", avec 77 buts en sélection nationale. Néanmoins, la Pologne préfère défendre que de l'alimenter en bons ballons : "Ils garent le bus devant les buts et ils envoient Lewandowski se débrouiller tout seul avec un ballon". Un autre visage connu, Arkadiusz Milik, l'ancien Marseillais, 1m89, même si son sélectionneur l'utilise peu comme titulaire.
Il devrait normalement y avoir 5.000 supporters français dans le stade. Parmi eux, plusieurs centaines sont des expatriés qataris, mais également des Dubaïotes, qui viennent en 45 minutes grâce à un pont aérien : "On est arrivé ce matin et on repart demain, c'est rapide."
Les Dunkerquois planifient eux, déjà leur retour : "On a réussi à faire souffler les titulaires, ça a une grosse importance car la Pologne a galéré au troisième match. Je pense qu'en fin de match, cela va faire la différence. Je suis assez confiant et on compte sur eux pour revenir ici pour les demies et la finale", confie Yannick Vanet.
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