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Teddy Riner le 2 août 2024 lors des Jeux olympiques à Paris.
Crédit : Luis ROBAYO / AFP
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Teddy Riner n'a jamais fermé la porte à l'éventualité de faire de la politique. Selon un sondage du média L'Opinion, 18% des personnes interrogées disent qu'elles pourraient voter pour lui si l'élection présidentielle avait lieu dimanche 29 juin. Teddy Riner ne s'interdit pas un avenir présidentiel.
Les sondages lui offrent un socle électoral non négligeable pour quelqu'un qui n'a ni parti, ni programme. Stéphane Nomis, président de la Fédération française de judo, proche du champion, n'est pas étonné par ce chiffre : "Il a tellement réalisé d'exploits toute sa vie", a-t-il estimé.
"On lui a dit, tu ne pourrais pas être un chef d'entreprise. Il est devenu un grand chef d'entreprise. (...) On lui a dit, tu ne pourras pas être dix fois champion du monde. Il l'a été plus que ça. On lui a dit, cinq médailles d'or olympiques en judo, tu rêves. Il en a cinq. C'est vrai qu'il n'a pas fait de grandes études. Il est hors normes", a développé Stéphane Nomis.
"Tout ce qu'il touche ça devient de l'or. Il a de grandes ambitions, je pense qu'il se met zéro limite. Pourquoi pas ? Peut-être dans vingt ans", a ajouté la championne du monde Romane Dicko. En attendant, le kimono reste le seul costume de Teddy Riner, au moins jusqu'aux Jeux olympiques de Los Angeles.
Météo - Après les violents orages qui ont touché la France mercredi 25 juin, les dégâts sont nombreux. Le bilan humain est de deux morts, dont un enfant de 12 ans. Dix-sept autres personnes ont été blessées, dont l'une d'entre elles assez gravement. Jeudi soir 75.000 foyers sont toujours privés d'électricité.
Conclave sur les retraites - François Bayrou a défendu, jeudi 26 juin, le bilan du conclave. Le Premier ministre a choisi de relancer les négociations entre partenaires sociaux sur deux thématiques : les départs anticipés grâce à la pénibilité et la contribution financière des employeurs au système de retraite.
Conflit Israël-Iran - L'ayatollah Ali Khamenei a pris la parole jeudi 26 juin, assurant que le régime iranien est sorti grandi des 12 jours de guerre contre Israël. Le guide suprême se cache car il redoute d'être visé par un missile. Il n'a pas abordé l'état de son programme nucléaire, mais a martelé qu'Israël n'existerait plus sans le soutien des Américains.
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