Laurent Gerra : "On assoit le condamné sur un bambou et tous les jours on l'arrose", les préconisations de John Rambo pour une justice moins laxiste

Ce matin, l'invité de RTL est Olivier Marchais, fils de Georges Marchais, et porte-parole de Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste. "Selon vous, comment la gauche peut-elle tirer parti de la période troublée, pour le moins complexe, que nous traversons ?", demande l'animatrice. "N'essayez pas d'embrouiller les travailleurs et les masses laborieuses. La situation à gauche, elle n'est pas compliquée. D'une part, il y a les fous, d'autre part, il y a les mous. Puis sinon, il y a les nous. Les fous, c'est La France Insoumise, les mous, c'est les socialistes, et les nous, c'est nous autres, les communistes, qui défendons les classes populaires", détaille le proche de Fabien Roussel. "Chez les écologistes, il y a Sandrine Rousseau, elle a dit à Fabien Roussel que la bavette d'aloyau, ça fait brûler la planète. Alors ce que nous disons, nous autres, les communistes, c'est que Sandrine Rousseau, il faut la faire enfermer dans un restaurant végan, puis c'est tout", poursuit-il. 

Selon un récent sondage de l'institut Fruit, réalisé à la cafétéria de CNews, 9 Français sur 10 considèrent que la justice est trop laxiste et trop lente. Face à cette enquête édifiante, le gouvernement a décidé de réagir en embauchant un expert reconnu d'une justice sévère et expéditive. "Tu m'étonnes !", lance John Rambo, également invité de RTL. "Vous trouvez, vous aussi, que la justice est trop laxiste ?", interroge Jade. "À ton avis, des mecs agressent des policiers, ils prennent 35 ans de travaux d'intérêt général. Ça me tire sur mes cicatrices quand je rigole. Pourquoi pas les mettre au piquet et les priver de desserts à la cantine ou les privés de jeux vidéo", répond sèchement le vétéran. Et jade de lui demander ce qu'il préconise pour que la justice française soit enfin respectée. "Un travail d'intérêt écologique, un truc beau pour la planète, dit-il avant de détailler sa punition de rêve : la reforestation par exemple, on assoit le condamné sur un bambou et tous les jours on l'arrose". 

Le film Napoléon, de Ridley Scott est vivement critiqué par les journalistes et historiens français. RTL reçoit ce matin l'un de ses détracteurs, l'ancien député européen, Philippe de Villiers. "Ce film est un attrapeur pour les gueux qui ne connaissent pas l'histoire. Napoléon n'était pas américain. Ce film est le résultat de la mondialisation et de l'Europe de Maastricht", cingle-t-il. Et Jade de tempérer : "Mais c'est bien que le cinéma américain s'empare du sujet, ça permet de faire un peu mieux connaître une partie de l'histoire de France au monde entier". "Morte-couille, une France qui parle la langue du diable ! Il n'y a que dans un pays gay, un pays gouverné par Foutriquet Ier qu'on peut entendre autant de bêtises. Monarque d'opérette".

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