Laurent Gerra : "Ce n'est pas 'ambassadrice des pôles' qu'elle aurait dû être, mais 'ambassadrice des pau-paul'", François Hollande s'en prend à Ségolène Royal

Vincent Delerm fête ses 20 ans de carrière avec un magnifique coffret comprenant deux disques, des chansons inédites et un livret de 140 pages. Pour l'occasion, RTL vous propose de revivre ce succès musical en recevant l'héroïne de son grand tube, Fanny Ardant. "J'ai été flatté, forcément, mais pas tellement surprise. Dans cette chanson, 'Fanny Ardant et moi', Vincent Delerm s'imagine en couple avec une actrice mystérieuse. Et nous sommes peu à pouvoir l'incarner. S'il avait écrit 'Catherine Deneuve et moi', ça aurait moins bien marché", explique l'actrice. "Ah bon ? Pourquoi ?", relance Jade. "Parce que j'incarne la femme inaccessible. Catherine est très belle, c'est vrai, mais c'est le genre de beauté que les hommes osent aborder. Moi, quand je me promène dans la rue, aucun homme ne me dit 'Salut poupée, t'es bien roulée, je te paye un café'". 

RTL reçoit ce matin l'ancien président de la République, François Hollande, reconverti en commentateur avisé de l'actualité. Mais s'il est là aujourd'hui, c'est pour parler d'un sujet éminemment plus important que le budget de la France où le cambriolage du Louvre. "Je vais vous parler de mon ex, Ségolène, lance le député. En parcourant la presse nationale, comme je le fais chaque jour en observateur avisé, j'ai lu dans 'Paris Match' qu'elle s'affichait au bras de son nouvel amoureux. Elle a toujours eu le feu au réchaud. Je le sais, ça ! Une vraie croqueuse d'hommes". "Maintenant qu'elle a trouvé l'amour, elle a peut-être arrêté de 'croquer les hommes', comme vous dites", tempère l'animatrice. "Tu parles, la cougar, il lui faut de tout. C'est pas ambassadrice des pôles qu'elle aurait dû être, mais ambassadrice des pau-paul".

Le président de la République, Emmanuel Macron, vient d'inaugurer la Cité internationale de la francophonie à Villers-Cotterêts, dans l'Aisne. Pour commenter cette actualité culturelle qui de mieux que l'ancien ministre de la Culture, Jack Lang. "Macron, Macron, Macron, répète l'ancien membre du parti à la rose, avant de poursuivre : Emmanuel, quel bel homme. Il a enfin suivi mes conseils avisés, en créant de toute pièce, au milieu de nulle part, un prestigieux équipement culturel dont la France profonde a tant besoin. C'est pour ça que je kiffe et je sur-kiffe Manu. Et je lui dis que s'il a besoin d'un directeur, je suis prêt à aller m'enterrer à Villers-Cotterêts", dit-il d'un ton enthousiaste. 

À lire aussi

humour

Laurent Gerra : "Les petits-enfants en 2025 sont wokistes et te traitent de raciste quand tu chantes 'Le temps des colonies'", Michel Sardou déteste notre époque