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Laurent Gerra : "Il faut taxer à 400% les produits qui ne servent à rien : le shampoing, les peignes...", dit François Lenglet sur fond d'examen du Budget

Ce vendredi 31 octobre, Laurent Gerra a notamment imité François Lenglet, Philippe Martinez et Enrico Macias.

Laurent Gerra

Crédit : RTL

L'INTÉGRALE - Lenglet, Martinez, Macias... La chronique du 31 octobre 2025

00:05:46

Le projet de Budget actuellement en discussion à l'Assemblée nationale fait l'objet d'intenses négociations. RTL accueille deux débatteurs pour un échange enflammé : François Lenglet et Philippe Martinez, ancien secrétaire général de la CGT. "Nous à la CGT, on a toujours dit qu'il fallait faire payer les privilégiés, lance le syndiqué avant d'ajouter : il y a encore trop de gens qui prennent le train et leur train arrive à l'heure. Il n'y a pas de grève, pas de feuilles mortes sur les voies, pas d'avarie matérielle sur une locomotive. Et que donc ces gens-là, c'est des privilégiés et il faut les taxer à l'arrivée".

Mutique jusque là, François Lenglet prend enfin la parole. "La situation est grave. Si on ne trouve pas 300 milliards d'euros d'ici trois jours, on va se retrouver les mains sur la tête, au piquet avec la Grèce et le Burundi", dit-il d'un ton solennel. Pour contrer le déficit, le journaliste propose des pistes concrètes : "Il faut taxer à 400% les produits de luxe qui ne servent à rien. Tout ce qui est superflu comme le shampoing, les peignes, les coiffeurs, les teintures, les barrettes...".

C'est le point géopolitique internationale avec Bernard-Henri Lévy dans sa célèbre émission BHL TV. "Je vais vous parler de la guerre qui sévit à Paris entre les voitures et les vélos. En effet, sur les pistes cyclables, c'est la guerre, dit-il d'un ton grave avant de poursuivre : je me suis rendu boulevard Haussmann avec mes cadreurs et ma coiffeuse de guerre. Et alors que j'interviewais un automobiliste coincé dans un bouchon depuis 2h30, un cycliste m'est rentré dedans et m'a fait tomber. Ma chemise blanche Alain Figaret de guerre était toute tachée et j'ai dû appeler en urgence mon habilleuse de guerre pour qu'elle m'en apporte une autre".