DOCUMENT M6 - "J'aimerais qu'on aille de l'avant" : Miss France 2026 réagit pour la première fois à la destitution de deux candidates

Quelques mots et de lourdes conséquences. Ce mardi 9 décembre, Miss Provence et Miss Aquitaine ont été destituées par leurs comités respectifs après leur "propos injurieux" à l'égard des 12 demi-finalistes. Dans une vidéo publiée dans la foulée des résultats du concours de beauté, Julie Zitouni et Aïnhoa Lahitete ont en effet critiqué leurs camarades, sous-entendant qu'elles ne méritaient pas leur classement.

Après cette décision peu courante, soutenue par la Société Miss France, Hinaupoko Devèze, Miss France 2026, a réagi à la polémique dans un entretien accordé à M6, dont nous dévoilons un extrait.

"Il est vrai que je ne tolère pas les propos irrespectueux, bien sûr. Après, elles ont présenté leurs excuses, s'en est suivi la sanction qui est tombée", a-t-elle déclaré.

En effet, Miss Provence et Miss Aquitaine ont toutes deux présenté leurs excuses sur leurs réseaux sociaux respectifs. Julie Zitouni a affirmé que l'insulte avait été utilisée dans un sens familier, signifiant simplement "les veinardes", "les chanceuses". De son côté, Aïnhoa Lahitete a précisé que la vidéo était "destinée à un cercle privé" et a admis avoir "approuvé des propos inacceptables", précisant qu'ils avaient été "tenus par une autre Miss".

Miss France 2026 ne veut pas qu'on en "rajoute des couches"

Miss Tahiti 2025 souhaite désormais rapidement tourner la page de cette polémique. "J'aimerais qu'on n'en rajoute pas des couches. Les choses ont été faites. J'aimerais qu'on aille de l'avant et qu'on tire un trait sur ce sujet qui ne me concerne pas", a-t-elle déclaré sur M6.

Qu'on évite de déployer de la haine ou de surmédiatiser ce sujet

Hinaupoko Devèze, Miss France 2026

Alors que le règne de Miss France 2025 a été émaillé de vagues de haine à l'encontre d'Angélique Angarni-Philoppon, cette polémique fait craindre que les commentaires injurieux débordent sur le règne de la nouvelle Miss. Des doutes que semble avoir Hinaupoko Devèze.

"J'aimerais mettre un peu plus de bienveillance sur cette nouvelle année, qu'on évite de déployer de la haine ou de surmédiatiser ce sujet", a-t-elle conclu. 

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