Les tests salivaires pourront être utilisés pour détecter les infections par le nouveau coronavirus, mais uniquement chez les personnes présentant des symptômes, selon un avis de la Haute autorité de Santé (HAS) rendu vendredi 18 septembre. Il faut maintenant que le gouvernement donne son feu vert. Les premiers pourraient être utilisés début octobre.
Détecter le virus dans la salive est un peu moins fiable qu'avec un prélèvement dans le nez mais les résultats sont quand même assez proches pour les personnes qui ont des symptômes. L'autorité de santé recommande donc que ces tests soient autorisés surtout pour les malades qui ont du mal avec l'écouvillon : les enfants, les personnes âgées.
La HAS propose que le test salivaire soit remboursé mais pour l'instant ils ne sont pas plus rapides c'est juste la façon de prélever qui change. Il faut toujours envoyer les échantillons à un laboratoire. C'est la méthode d'analyse qui va permettre d'accélérer les résultats, elle n'est pas encore homologuée.
Les tests salivaires seront plus confortables pour certains malades. En revanche, ils ne sont pas fiables pour les personnes asymptomatiques, on raterait avec 3 malades sur 4. Il n'est donc pas question de faire avec les tests salivaires des dépistages de masse.
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