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Christiane Taubira, le 20 décembre 2021
Crédit : GUILLAUME SOUVANT / AFP
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L'objectif : investir le meilleur candidat pour la présidentielle. Alors que la primaire populaire se tiendra le 27 janvier prochain, ses organisateurs considèrent qu'il s'agit du seul processus capable de rassembler la gauche. Pourtant, selon Jean-Philippe Derosier, professeur agrégé de droit public, membre de l'Institut Universitaire de France, cette primaire populaire "est illégale".
"Bien qu'elle en porte le nom, il ne s'agit pas d'une primaire au sens classique du terme", mais "d'un sondage", explique ainsi l'auteur du blog La Constitution décodée au micro de RTL. "Ils veulent inclure dans ce processus des personnalités qui refusent de s'y inscrire et qui d'ailleurs refuseront le résultat", détaille Jean-Philippe Derosier.
Anne Hidalgo, Jean-Luc Mélenchon ou encore Yannick Jadot ont ainsi déjà assuré qu'ils n'y participeraient pas, au contraire de Christiane Taubira. Face au refus de ces candidats, cette primaire populaire "contrevient alors à un principe constitutionnel, qui est le principe de sincérité du scrutin", conclut-il.
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