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Christophe Castaner au Sénat, le 19 mars 2019.
Crédit : ERIC FEFERBERG / AFP
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La crise des "gilets jaunes", dont le 19e acte de mobilisation s'est déroulé samedi 23 mars, a mis beaucoup de pression sur les épaules du ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner. Suivi par le JDD samedi, le ministre affichait pourtant une certaine décontraction avant une nouvelle journée de potentiels débordements. "Il y a forcément une appréhension après le dérapage du week-end dernier, mais être tendu et agité, ça ne sert à rien.", confiait-il.
Pourtant Christophe Castaner jouait gros ce samedi et pouvait perdre beaucoup. "Toute mon autorité sera en jeu s’il y a de nouveaux dérapages", a reconnu le premier flic de France. Attendu au tournant après les débordements de samedi dernier, l'ancien délégué général de LREM a démenti toute mauvaise entente avec Emmanuel Macron. "Que le Président ait de la colère, y compris contre moi, c’est possible, mais est-ce que me passer une avoinée aurait été utile?", poursuit-t-il au journal hebdomadaire avant d'ajouter, "par contre, ce qui est vrai, c’est qu’il nous a mis une pression de dingue".
Après un samedi plutôt calme si ce n'est quelques débordements en province, Christophe Castaner s'est réjoui du "maintient de l'ordre républicain". "Il y a encore un haut niveau de mobilisation des ultras, mais les leaders, comme Éric Drouet, ne pèsent plus rien sur le mouvement", constate-t-il.
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