Dans la soirée du 11 décembre 2018, un homme, connu des services de police et fiché S, a ouvert le feu dans le centre-ville de Strasbourg. Le bilan s'élève à deux morts et quatorze blessés, dont neuf blessés grave. Une enquête a été ouverte par la section antiterroriste de Paris.
Alain Fontanel, premier adjoint de la mairie de Strasbourg était sur place lors de l'attaque : "J'ai vu des gens arriver, j'ai entendu du bruit. J'ai vu un corps au sol, et ensuite j'ai été confiné", explique-t-il à RTL. Sur place, il y a eu "de la panique, de la peur, puis beaucoup de sang-froid" de la part des Strasbourgeois pendant le confinement, poursuit le premier adjoint à la mairie de Strasbourg.
Le tireur est toujours recherché par les forces de l'ordre. Il a pu passer les ba rrages de sécurité. "Le risque 0 n'existe malheureusement jamais. Le marché de Noël de Strasbourg est un symbole et dans notre histoire, il a été suspendu deux fois : pendant la période de l'Occupation nazie et après l'attentat du Bataclan. Ce dispositif est renouvelé depuis 2015", détaille Alain Fontanel.
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