Législatives 2024 : "Macron a tué la majorité présidentielle", affirme Édouard Philippe

Hervé Breuil, candidat Rassemblement national dans la 2e circonscription de la Loire a été pris à partie sur un marché à Saint-Étienne (Loire), révèle France Bleu. Le candidat de 68 ans a été hospitalisé.


"Empêcher un candidat de faire campagne, un militant de tracter ou/et coller et vous osez venir nous donner des leçons de démocratie ?!", a réagi l'antenne locale du RN sur X.

Le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a estimé jeudi dans une interview au Figaro que le programme économique du Nouveau Front populaire coûterait 200 milliards d'euros sur cinq ans à la France, mais en rapporterait 230.

"Selon les calculs de notre parti, à horizon cinq ans, il y aura un total de 200 milliards d'euros de dépenses publiques et 230 milliards de recettes pour l'État. Comment? Par un coup de fouet à l'activité. La dépense sociale crée du bien-être, lequel permet la consommation, qui, elle, produit de l'emploi et des recettes fiscales", estime le fondateur de LFI.

Selon l'ancien Premier ministre Édouard Philippe, "le président de la République a tué la majorité présidentielle". Au micro de Paul Larrouturou, il précise : "Ce n'est pas moi qui suis parti. Il a décidé de la dissoudre. On passe à autre chose. Autre chose, ça ne peut pas être exactement la même chose qu'avant, c'est créer une nouvelle majorité parlementaire qui fonctionnera sur des bases différentes de l'ancienne majorité présidentielle."

À la veille de la sortie de son nouvel album, le rappeur Soprano témoigne sur RTL de son inquiétude face à la progression du Rassemblement national.

"Beaucoup de gens ont oublié comment est bâti ce parti, affirme-t-il, les discours, les phrases choc. Je suis né à Marseille, j'ai grandi avec des jeunes, où il y a eu un jeune qui a été abattu par les couleurs d'affiches du Front National. Moi, ça m'a marqué, j'avais 15 ans. Aujourd'hui, quand je vois qu'il y a des gens qui peuvent voter pour des partis à l'extrême droite, moi, ça me met le frisson, parce que je me dis : où on va ?"

RTL Soir

DOCUMENT RTL - "Une des libertés qui nous restent aujourd'hui, c'est le vote", lance Soprano

20/06/2024 à 18:43 — 03m54s

Le Conseil constitutionnel a rejeté jeudi dix recours qui contestaient le décret de convocation des électeurs aux législatives anticipées du 30 juin et du 7 juillet, jugeant les délais conformes à la loi fondamentale.


Après la dissolution de l'Assemblée nationale, plusieurs recours avaient été déposés pour protester contre les dates des législatives dans des délais considérés comme trop courts et de nature à "porter gravement atteinte à la sincérité du scrutin".

Selon l'article 12 de la Constitution, "les élections générales ont lieu vingt jours au moins et quarante jours au plus après la dissolution". Pour le Conseil constitutionnel, ce délai est respecté, y compris pour des élections anticipées de 24 heures dans les outre-mer.

Invité de Julien Sellier, Isabelle Choquet et Cyprien Cini, l'écologiste Yannick Jadot a défendu sur RTL la promesse du Nouveau Front Populaire d'augmenter le Smic, malgré les craintes des patrons.
"Oui, on va augmenter de 14% le Smic, mais pour les TPE notre engagement c'est de compenser pour que ce soit assumable". affirme-t-il.

Les invités de RTL

LÉGISLATIVES - Yannick Jadot est l'invité de RTL Bonsoir

20/06/2024 à 18:44 — 13m04s

Le maire LR de Cannes David Lisnard souhaite "compter le plus possible" à droite lors des élections législatives du 30 juin avec son parti Nouvelle Energie (NE) qui soutient 71 candidats, tout en se défendant d'avoir donné "un coup de canif" à sa famille politique.

Le président de l'influente Association des maires de France (AMF), qui nourrit des ambitions élyséennes pour 2027, entend donner lors des législatives une dimension nationale à Nouvelle Energie, formation qu'il avait créée pour conquérir la mairie de Cannes il y a dix ans.
Parmi les 71 candidats qui arborent son logo, la plupart sont rattachés aux Républicains, d'autres au Nouveau Centre d'Hervé Morin et quatre ont été investis uniquement avec l'étiquette NE.

David Lisnard a choisi de lancer son parti aux législatives "pour ajouter des compétences et essayer d'avoir des nouveaux talents", afin d'apporter "une première pierre de reconstruction d'une droite libérale, nationale et humaniste", a-t-il expliqué.

Le président du MoDem François Bayrou a mis en garde jeudi à Lille contre les "deux dangers mortels pour la société" que représentent selon lui le Rassemblement national et le Nouveau Front populaire lors des élections législatives.
"Il y a trois propositions réelles dont deux sont à mes yeux, à nos yeux, des dangers mortels pour la société dans l'état où elle se trouve et le moment historique que nous vivons, dont elle ne se relèverait pas avant des années et des années", a déclaré en conférence de presse M. Bayrou, venu soutenir des candidats nordistes de la majorité.
Il a estimé que les électeurs allaient se retrouver lors de ce scrutin face à "trois propositions politiques", dont deux sont synonymes de "déstabilisation complète du pays et de l'Europe". "L'extrémisme des deux côtés constitue un danger aussi grave", a-t-il insisté.

En misant tout sur le premier tour des législatives, le camp présidentiel espère s'éviter le "piège" qui l'obligerait à choisir entre la gauche et le Rassemblement national, constamment renvoyés dos à dos. Mais dans cette hypothèse, beaucoup optent déjà pour le barrage à l'extrême droite.
"C'est bien dès le 30 juin que tout se joue". À plusieurs reprises jeudi, Gabriel Attal a résumé l'enjeu pour la Macronie : concentrer ses forces sur le premier tour en appelant au plus tôt au "vote utile" contre "les extrêmes".
Car "au second tour, il sera peut-être trop tard", a appuyé le Premier ministre. Troisième dans les sondages nationaux derrière le RN et le Nouveau Front populaire, le camp présidentiel risque en effet de se retrouver absent du second tour dans nombre de circonscriptions, voire placé troisième d'une triangulaire et sommé de se désister. La posture à adopter dans cette hypothèse interroge d'ailleurs ses candidats, qui ont interpellé leur chef de campagne en ce sens mercredi soir en visioconférence.
"C'est un piège. Il ne faut pas répondre, tu risques de fragiliser ta propre candidature !" leur a rétorqué Gabriel Attal, exhortant ses troupes à ne "pas rentrer dans ce débat maintenant", selon des participants confirmant une information de LCI.

Le président des Républicains, Eric Ciotti, demande ce jeudi une "rectification immédiate" de la classification officielle des candidats LR soutenus par le Rassemblement national dans le cadre de l'alliance dont il a pris l'initiative dans le cadre desélections législatives.

Les candidats investis au nom de l'alliance entre LR et le RN ont été étiquetés sous la bannière "union de l'extrême droite" par le ministère de l'Intérieur. "Nous sommes l'union de la droite et rien d'autre", dénonce-t-il.

Gabriel Attal a jugé jeudi qu'une "victoire de l'extrême droite" aux élections législatives "débriderait les haines", énumérant une liste "longue" de candidats du Rassemblement national controversés "dont le vernis craque vite derrière les discours policés". "Le jour d'après, ce seraient les violences qu'ils attisent qui s'exprimeraient à visage découvert. Ce seraient les haines qu'ils défendent qui se débrideraient", a déclaré le Premier ministre lors d'une conférence de presse.

M. Attal a fait référence au cas de quatre militants d'ultradroite récemment condamnés pour leur participation à une agression homophobe à Paris après la victoire du RN aux élections européennes. Pendant leur garde à vue, l'un d'eux a déclaré aux enquêteurs, selon Libération: "Vivement dans trois semaines, on pourra casser du pédé autant qu'on veut".

"Combien sont-ils dans le pays à attendre une victoire de l'extrême droite pour pouvoir libérer cette haine contre une partie de nos concitoyens ?", s'est demandé Gabriel Attal.

Grand examen des candidats devant le patronat : les représentants des différents partis défilent depuis devant les organisations patronales pour défendre leur programme à 10 jours du premier tour des Législatives. Mathilde Piqué, de notre service économique, et Julien Fautrat du service politique de RTL, font le point.

RTL Midi

LÉGISLATIVES - Les patrons veulent de la stabilité

20/06/2024 à 12:53 — 04m39s

L'ex-Premier ministre Edouard Philippe a qualifié jeudi Eric Ciotti de "champion du monde des alliances secrètes" pour son rapprochement avec le RN, rejetant ses accusations d'un accord tacite entre la macronie et LR notamment dans les Hauts-de-Seine.

"Je pense qu'Eric Ciotti est le champion du monde des alliances secrètes et qu'il a conçu quelque chose qui même dans le monde des alliances secrètes est inconcevable", a affirmé M. Philippe, qui s'est rendu à Asnières-sur-Seine pour soutenir le candidat LR Thomas Lam dans la 2e circonscription des Hauts-de-Seine.

La Conférence des évêques de France (CEF) appelle les catholiques à "surmonter peurs, colères, angoisses" pour être "des acteurs de l'amitié sociale", jeudi dans un texte publié à l'approche des élections législatives.

Le président du groupe LR au Sénat Bruno Retailleau a appelé jeudi à muscler la compétitivité et la productivité françaises, dénonçant un "social-étatisme" de la classe politique.

Invité de RTL ce jeudi, le président du Crif, Yonathan Arfi, a regretté que "pour la première fois depuis la Shoah, on voit des nouvelles générations plus poreuses aux préjugés antisémites".

"La marge de manoeuvre budgétaire de la France, elle est nulle", a affirmé jeudi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, en qualifiant les programmes de l'union de la gauche et du Rassemblement national de "programmes délirants et à contretemps de la situation des finances publiques".

Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, a dénoncé jeudi la "déraison budgétaire" du gouvernement, avec une dette et des déficits publics élevés qui font selon lui courir à la France "un risque de décrochage économique".

Le Nouveau Front populaire demande "un effort de patriotisme économique" aux milliardaires, a affirmé jeudi le socialiste Boris Vallaud, membre du Nouveau Front populaire, au cours d'une audition devant des organisations patronales, évoquant "un moment de redressement national".

"Vous pouvez lever la main les milliardaires et je m'excuserai auprès de vous de l'effort que je vous demande de solidarité et de patriotisme économique", a lancé le chef de file des députés socialistes.

"C'est la première fois depuis plus de 25 ans que les Français vont choisir un Premier ministre. Evidemment qu'il y aura un avant et un après. Et qu'à l'issue de cette élection, nécessairement, il y aura un avant et un après dans la pratique du pouvoir, dans l'équilibre des institutions", a-t-il répondu lors d'une conférence de presse de présentation du programme de la majorité à ce scrutin.

"Le 9 janvier, le président de la République m'a nommé. Le 30 juin, j'aimerais que les Français me choisissent", a ajouté le Premier ministre, qui mène la campagne des législatives pour le camp présidentiel.

Le Premier ministre enjoint aux responsables politiques de "mettre des digues" face à l'antisémitisme.

"N'envoyons pas l'économie dans le mur avec le Front national et la Nupes", a affirmé Gabriel Attal qui tient une conférence de presse ce jeudi.

Le 20 juin 1936, le gouvernement du Front populaire promulguait la loi sur les congés payés : 15 jours de vacances, chaque année, pour tous les salariés. Une idée qui, pourtant, ne faisait pas partie du programme de la coalition de gauche, explique Lorant Deutsch dans un nouvel épisode du podcast "Entrez dans l'Histoire".

Entrez dans l'Histoire

LA QUOTIDIENNE - Congés payés : pourquoi ce n'est pas le Front populaire qui les a inventés

20/06/2024 à 07:28 — 02m56s

Les représentants des principaux partis dans la course aux législatives présentent jeudi leur programme devant les organisations patronales. Selon Alba Ventura "ce n'est plus entendable, ces partis qui veulent tous dépenser sans financer".

L'édito d'Etienne Gernelle

ÉDITO - Le grand oral des candidats devant les patrons

20/06/2024 à 07:31 — 03m11s

MIchel Picon, président de l'U2P, organisation qui réunit 4 millions de patrons de TPE-PME, était ce jeudi l'invité de RTL. Alors que les représentants des partis candidats aux législatives doivent être entendus par les organisations patronales ce même jour, le dirigeant alerte les patrons sur les conséquences que pourraient avoir un certain nombre de promesses électorales pour leur activité. Un entretien à retrouver en intégralité sur nos plateformes.

Les invités de RTL

LÉGISLATIVES - Michel Picon, président de l'Union des entreprises de proximité, est l'invité de Amandine Bégot

20/06/2024 à 08:01 — 09m56s

Les invités de RTL

LÉGISLATIVES - Michel Picon, président de l'Union des entreprises de proximité, est l'invité de Amandine Bégot

20/06/2024 à 08:03 — 09m56s

"Notre rôle est de respecter le choix de chacun. Une organisation comme la notre travaillera avec tout le monde. Mais c'est de dire aux patrons de ne pas voter dans l'émotion et en réaction mais en connaissance de cause de ce que votre entreprises pourrait subir des programmes mis en œuvre par les candidats", résume le dirigeant de l'U2P.

Un certain nombre de patrons n'hésite plus à voter en faveur du Rassemblement national. En 2022, 56% des dirigeants d'entreprises disaient avoir voté en faveur de Marine Le Pen au premier tour de l'élection présidentielle dans un sondage IFOP. Pour Michel Picon, "les chefs d'entreprises n'échappent pas à la perception d'une société anxiogène qui leur fait peur".

"Des artisans se font voler leur camionnette tous les jours. J'ai rencontré une infirmière qui n'ose plus aller soigner ses patients parce qu'elle a peur de rentrer dans une cage d'escalier. Parfois, c'est aussi de la peur par procuration parce que c'est ce qu'on voit à la télévision", souligne le dirigeant de l'U2P.

Michel Picon estime que beaucoup de patrons ressentent une "ambiance à la "tout fout le camp" où l'on est tout seul à travailler beaucoup, 15 heures par jour, à porter la France à bout de bras pendant que trop ne travaillent pas et profitent".

"Tout ça c'est de l'impression sur un certain nombre de points et une réalité sur d'autres", souligne-t-il. "Les chefs d'entreprises n'y échappent pas. Ils vivent le même quotidien que les Français et donc ils n'échappent pas à la tentation de voir autre chose par rapport à ce qu'ils ont connu alors qu'ils considèrent que les gouvernements successifs ont failli sur les questions d'ordre et d'autorité".M

Une autre mesure cristallise les craintes des patrons : pour les inciter à augmenter leurs salariés de 10%, le Rassemblement national propose d'exonérer les employeurs du paiement des cotisations patronales sur la part du salaire augmentée.

"C'est séduisant mais ça existe déjà. L'exonération de cotisations sociales à hauteur de 10% existe déjà à travers la prime Macron. Ce n'est pas une nouveauté, c'est habillé différemment. C'est pour ça qu'on va essayer de faire tomber les masques avec cette réunion ce matin en disant : 'Bon aujourd'hui, vous êtes devant les chefs d'entreprises qui auront à vivre les conséquences des décisions que vous allez prendre'", explique Michel Picon.

Le Smic à 1.600 euros dans le programme du Nouveau Front populaire inquiète particulièrement les chefs d'entreprises. "Je comprends la joie des gens qui n'ont pas cette rémunération et combien ça doit être difficile. Mais l'impact dans les entreprises sera catastrophique. 84% des entreprises qui déposent leur bilan sont des entreprises de moins de 10 salariés. Une augmentation aussi brutale de la masse salariale a des conséquences pour des tas d'entreprises. L'impact financier ne sera pas supporté. Les gens n'auront pas un Smic augmenté, ils auront simplement perdu leur emploi", explique Michel Picon.

Quel pourrait être l'impact financier d'une telle mesure ? "On est en train de le chiffrer. Je pense que ce sont plusieurs centaines de milliers d'emplois qui sont menacés dans les territoires et des emplois de proximité qui ne sont pas délocalisables", estime-t-il.

Rompant avec sa tradition, la CGT est sortie de sa réserve en appelant à voter pour le programme du Nouveau Front populaire,. De son côté, l'U2P n'entend pas formuler de consigne de vote à l'issue de ce grand-oral économique.

"L'organisation patronale n'est pas là pour faire de la politique. Je respecte le choix de la CGT. Nous, notre responsabilité est d'éclairer le débat en posant des questions très précises aux candidats pour que chacun puisse voter en conscience des conséquences que cela peut avoir. Les chefs d'entreprises sont aussi perturbés par la campagne", explique Michel Picon.

Invité de RTL ce jeudi 20 juin, Michel Picon tire la sonnette d'alarme. Le président de l'U2P, qui regroupe 4 millions d'entreprises de proximité en France, organise avec les organisations patronales un grand oral ce jeudi afin d'auditionner les chefs de parti et de coalition avant les élections législatives.

"Sur le plan économique et social, l'heure est grave. C'est une campagne très courte qui amène les candidats à faire des propositions fortes attrape-tout. Emt si elles sont mises en œuvre, ces propositions auront des conséquences pour les entreprises, les grandes et les petites", explique Michel Picon.

Michel Picon, président de l'U2P, l'Union des entreprises de proximité, est l'invité de RTL ce jeudi 20 juin. L'U2P regroupe près de 4 millions de TPE-PME, 2 entreprises sur 3 en France, dont des artisans, des commerçants ou des professions libérales. Son dirigeant revient sur la situation économique du pays à l'approche des élections législatives. "Il y a un vrai risque de chaos économique", estime-t-il.

Selon Michel Picon, "les petites entreprises individuelles ne vont pas pouvoir supporter un certain nombre de mesures des candidats. Je sais que la période électorale est propice aux mesures attrape-cœurs, les promesses n'engageant que ceux qui les écoutent, mais je vois des positions qui inquiètent les petites entreprises".

Comment a-t-il décidé de nouer une alliance avec le RN ? Quel avenir politique pour lui et son parti ? Dans le dernier épisode du podcast "Tout Savoir Sur", la journaliste de RTL Marie-Pierre Haddad revient sur la semaine agitée du président de LR au côté de Marion Mourgue, cheffe adjointe du service politique au "Parisien".

Tout savoir sur...

POLITIQUE - Éric Ciotti : les coulisses de sa décision de s'associer au RN pour les législatives

18/06/2024 à 18:08 — 16m43s

Annulation de la nouvelle réforme de l'assurance chômage, abrogation de la réforme des retraites, mesures de blocage des prix sur l'alimentation et sur l'énergie, SMIC à 1.600 euros net par an. Telles sont les principales mesures annoncées par Le Nouveau Front Populaire.
Dans RTL Bonsoir !, ce mercredi 19 juin, des spécialistes en économie ont débattu de la manière dont l'alliance de la gauche compte financer son programme ambitieux, en matière de dépenses sociales, notamment.

RTL Soir

LÉGISLATIVES - Comment le Nouveau Front populaire compte financer son programme

19/06/2024 à 21:00 — 11m54s

La CGT a pris position en appelant à voter pour le Nouveau Front Populaire lors des législatives des 30 juin et 7 juillet prochains.

RTL Midi

LÉGISLATIVES - Quel impact a la prise de position des syndicats ?

19/06/2024 à 12:59 — 05m26s

La question des retraites est centrale depuis le début de la campagne des législatives. Le point sur les différents programmes.

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LÉGISLATIVES - Comparatif des programmes : les retraites

19/06/2024 à 12:33 — 02m33s

L'ancien Premier ministre, Dominique de Villepin a explicitement refusé mercredi de "renvoyer dos-à-dos" le RN et le Nouveau Front Populaire. "Le risque est de banaliser le Rassemblement national", a-t-il estimé. Pour lui, "la priorité doit être donnée à la lutte contre le RN" car "il constitue une vraie menace pour notre pays".

Un débat opposera Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard le 25 juin en soirée sur TF1, à cinq jours du premier tour des élections législatives, a annoncé mercredi la première chaîne française, confirmant une information du Figaro. Ce débat entre le Premier ministre issu de Renaissance, le président du Rassemblement national et l'ancien député de La France insoumise sera animé par Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray, selon le journal.

Les partis candidats aux législatives passent ce jeudi leur grand oral devant le monde de l’entreprise. Leurs programmes sont-ils réalistes ? Tenables ? Le Medef auditionnera plusieurs responsables dont Jordan Bardella, Edouard Philippe et Boris Vallaud (pour le Nouveau Front populaire.

Michel Picon, président de l’Union des entreprises de proximité sera, lui, l'invité d'Amandine Bégot dès 7h40 pour passer au crible les différentes propositions.

Après avoir réuni mercredi soir les candidats de son camp au siège de campagne de Renaissance, le Premier ministre présentera de nouvelles propositions de la majorité lors d'une conférence de presse ce jeudi matin à 9h.

Dans le 20 heures de TF1, Gabriel Attal a confirmé "aspirer à pouvoir continuer à diriger l'action du gouvernement" après les élections législatives anticipées, quand bien même son camp est donné distancé dans les sondages. Cette conférence de presse, intitulée "Le jour d'après", vise à présenter les 100 premiers jours d'action du nouveau gouvernement, s'il venait à être élu.