1 min de lecture

François Bayrou dénonce la responsabilité "des forces politiques qui veulent le chaos" en France

À huit jours du vote de confiance des députés, François Bayrou a tenté une ultime explication face aux Français, ce dimanche 31 août.

François Bayrou en interview le 31 août 2025

Crédit : Alain JOCARD / AFP

Marie-Pierre Haddad

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Ce qu'il faut savoir
  • Durant cette interview diffusée sur BFMTV, Cnews, Franceinfo et LCI, François Bayrou a refusé de se projeter dans l'hypothèse où il n'obtient pas la confiance des députés. Cependant, le Premier ministre a comparé les chemins de négociations à un "trou de fourmi".
  • L'avenir de François Bayrou à Matignon est incertain. Le PS a maintenu sa volonté de voter contre la confiance au Premier ministre, le 8 septembre. Tout comme le Rassemblement national. Ce qui condamne le gouvernement à tomber.
  • Le Premier ministre a commencé à concéder une mesure aux oppositions. Proposant de supprimer deux jours fériés pour les salariés, François Bayrou a indiqué que ce nombre pouvait être réduit à un seul.
Filtrer et afficher les actualités :

la fin du front républicain ?

Dans l'hypothèse où le gouvernement de François Bayrou tombe et où Emmanuel Macron décide de dissoudre, les élections législatives anticipées seraient favorables au Rassemblement national, selon un sondage Elabe. Le Rassemblement national arriverait en tête avec de 31% (contre 33% lors des législatives de 2024). La gauche obtiendrait pour sa part 23,5% (28% en juin 2024).

François Bayrou estime que "le front républicain n'aura pas lieu". Le Premier ministre pointe la responsabilité de la gauche : "Cette semaine, aux universités d'été de LFI, ce qui était chanté en chœur, c'était : 'Tout le monde déteste le PS'. Olivier Faure (...) imagine un gouvernement sans LFI à l'intérieur. Dans les temps mauvais comme on est, la stabilité, c'est une chose essentielle. Je me bats pour ça".

François Bayrou : "Il y a des forces politiques en France qui veulent le chaos"

"Il y a des forces politiques en France qui veulent le chaos", dit-il en nommant Jean-Luc Mélenchon

Quant à l'hypothèse d'une dissolution, François Bayrou répond : "La dissolution, on l'a vécue". "On ne peut pas dire qu'elle ait été une clarification magnifique. Comme on n'a pas changé le mode de scrutin (...) vous avez beau dissoudre, vous allez retrouver les mêmes divisions, les mêmes difficultés", ajoute-t-il.

Quels sont les scénarios possibles si le gouvernement Bayrou tombe ? La réponse dans notre article ci-dessous ⬇️

la france bientôt placée sous tutelle ? le "risque" est "imminent", selon bayrou

Alerte

François bayrou : "Je suis persuadé que le PS n'a pas très bien réfléchi"

Alerte

Se disant ouvert aux négociations, François Bayrou commente les propositions faites par le Parti socialistes, lors de ses universités d'été à Blois. "Le PS propose de laisser repartir la dépense", déclare-t-il. 

"Je suis persuadé qu'ils n'ont pas très bien réfléchi" ou qu'ils pensent dans "leur for intérieur que ce n'est pas possible", tacle-t-il mais assure leur "tendre la main à tout le monde".

il "faut que notre politique évolue" sur l'immigration, selon françois bayrou

La politique d'immigration en France "doit évoluer", constate François Bayrou. Selon le chef du gouvernement, cette évolution doit concerner tant le "volume" que "la capacité à maîtriser les entrées et les sorties du territoire".

"d'accord" pour réduire les contributions de la France à l'UE

François Bayrou commence une proposition faite par Marine Le Pen de réduire les contributions de la France à l'Union européenne. Le Premier ministre est "d'accord". 


"La contribution à l'Union européenne, c'est un très grand risque si on ne le paie pas (...) Je suis d'accord avec elle, que si on peut, il faut le faire, mais dire qu'on ne remplit pas nos engagements aura des conséquences", met-il en garde.

Vers la fin de l'abattement de 10% des retraités ?

"C'est un effort, je ne dis pas le contraire", reconnaît François Bayrou. Tout en précisant : "Nous n'avons pas supprimé, nous avons remplacé l'abattement par un abattement forfaitaire". Il juge ainsi qu'une "évolution de la mesure qui va faire gagner des centaines d'euros aux retraités modestes, du bas de l'échelle".

les "boomers" doivent-ils être mis à contribution ?

Afin de réaliser 44 milliards d'euros d'économies, François Bayrou estime que les retraités doivent être mis à contribution. "Je n'ai jamais dit qu'il fallait cibler les boomers dont je suis (...) J'ai dit que cette génération-là devrait être avec moi pour faire baisser la dette des plus jeunes", se défend le Premier ministre. Et d'ajouter qu'il souhaite "réveiller les ainés".

Selon un sondage Ipsos-BVA pour RTL, en partenariat avec CESI Ecole d’ingénieurs, une majorité de Français estime que les efforts doivent venir en priorité des foyers les plus fortunés (57%) et des grandes entreprises (46%). 

Les retraités sont-ils des privilégiés ? Retrouvez notre éclairage dans l'article ci-dessous ⬇️

2 jours fériés bientôt supprimés ?

Alerte

Lors de la présentation de son budget le 15 juillet dernier, François Bayrou a proposé la suppression de deux jours fériés, déclenchant l'ire de la classe politique. "Cette mesure est tout à fait discutable", a lancé François Bayrou. "C'est amendable", ajoute-t-il. Mais jusqu'où ? "Cela pourrait être 1 (jour, ndlr), sans difficulté", assure le Premier ministre.

Le chef du gouvernement a une nouvelle fois assuré que cette mesure était efficace. "Ce ne sont pas deux jours de travail en plus. C'est de la richesse pour le pays", lance le Premier ministre.

François bayrou : "on a un mois pour négocier"

À ceux qui le condamnent à quitter Matignon, François Bayrou assure qu'il existe toujours un chemin possible. "On a un mois pour négocier", déclare-t-il, sous-entendant qu'il peut obtenir le vote favorable des députés. 

Le Parti socialiste a présenté le 30 août son contre-budget. Leurs propositions reviennent à dire "qu'on ne fait rien", juge le Premier ministre. 

Les socialistes proposent notamment de réduire le déficit de 21,7 milliards d'euros en 2026, environ deux fois moins que les 44 milliards mis sur la table par le gouvernement.

François Bayrou : "On est arrivé à une accumulation"

Toujours sur la question de la responsabilité, François Bayrou explique : "On n'a pas présenté un budget en France en équilibre depuis 51 ans". "On est arrivé à une accumulation, ajoute-t-il. Si les Français savaient nous n'en serions pas là, il y aurait de leur part un mouvement de mobilisation".

quelle est la responsabilité du camp présidentiel ?

Le camp présidentiel est-il responsable de la situation déficitaire de la France ? "Tous les opposants sans exception, exigeaient que l’on fasse plus. Ils montaient à la tribune (de l'hémicycle de l'Assemblée nationale, ndlr) pour dire que ce n’était pas assez", répond François Bayrou. 

la réponse au parti socialiste

En réponse aux propos d'Olivier Faure qui a assuré que ses députés voteront contre la confiance au gouvernement, François Bayrou indique : "Olivier Faure veut être à Matignon avec un gouvernement dont il aurait exclu LFI. Je ne vois où il trouverait d’autres soutiens et d’autres voix". 

l'interview de françois bayrou commence

Le ton est donné dès ses premiers mots : "Je ne dirais sûrement pas au revoir", déclare d'emblée François Bayrou.
"Si le gouvernement tombe (...) Ça veut dire que l'on changera de politique. On abandonnerait la politique vitale pour le pays, la politique sans laquelle le pays se place en danger extrême. On abandonnerait cette politique pour en prendre une autre plus laxiste", indique François Bayrou

Si le gouvernement tombe (...) Ça veut dire que l'on changera de politique

François Bayrou

qui peut succéder à François Bayrou ?

À l'Élysée, la situation est observée avec attention. Emmanuel Macron a indiqué à deux reprises apporter son soutien à son Premier ministre. "Je pense qu'il a eu raison de mettre en responsabilité les forces politiques et parlementaires, face à la situation qui est connue du pays. C'est fait avec méthode (...) il faut rentrer ensuite dans le temps des discussions, des mesures techniques", a déclaré Emmanuel Macron le 29 août. 


En coulisses, les différentes options sont à l'étude, avec notamment l'arrivée d'un nouveau Premier ministre à Matignon. Les dernières tractations à retrouver ci-dessous ⬇️

olivier faure : "Notre décision est irrévocable", Bayrou doit dire "au revoir"

Du côté du Parti socialiste, la messe est dite. Sur BFMTV, Olivier Faure a indiqué que la décision de son parti de voter contre la confiance à François Bayrou "est irrévocable". "Le seul mot que j'attends de lui maintenant, c'est de dire au revoir", a-t-il déclaré en qualifiant la multiplication des interventions du chef du gouvernement comme "une tournée d'adieux".

Une rénovation du bureau de Bayrou à Pau pour 40.000 euros

En parallèle des questions budgétaires, François Bayrou est face à une polémique. Selon Mediapart, le Premier ministre a engagé des travaux au sein de son bureau à Pau pour la somme de 40.000 euros. 

Il a jugé "insultante" et "dingue" la polémique, dans un entretien à Sud Ouest. "Tout ceci est complètement dingue ! À l'hôtel de ville, on a refait tous les bureaux, toutes les salles de réunion, la salle des mariages, etc. Le seul bureau qui n'a pas été fait, parce que j'ai souhaité que les autres aient la priorité, c'est celui du maire. Un bureau qui a plus de trente ans et qui tombe en ruines", a-t-il indiqué. 
 

"François Bayrou devrait présenter ses excuses aux Français"

Les positions se sont cristallisées à huit jours du vote de confiance au gouvernement de François Bayrou. Invité du Grand Jury sur RTL, le vice-président du Rassemblement national, Sébastien Chenu, demande au Premier ministre de "présenter ses excuses aux Français", pour avoir "amené notre pays aux portes de la ruine".

Selon le député RN, le chef du gouvernement est "l'accélérateur de l'instabilité". Un extrait à retrouver ci-dessous ⬇️

la fin du front républicain ?

Dans l'hypothèse où le gouvernement de François Bayrou tombe et où Emmanuel Macron décide de dissoudre, les élections législatives anticipées seraient favorables au Rassemblement national, selon un sondage Elabe. Le Rassemblement national arriverait en tête avec de 31% (contre 33% lors des législatives de 2024). La gauche obtiendrait pour sa part 23,5% (28% en juin 2024).

François Bayrou estime que "le front républicain n'aura pas lieu". Le Premier ministre pointe la responsabilité de la gauche : "Cette semaine, aux universités d'été de LFI, ce qui était chanté en chœur, c'était : 'Tout le monde déteste le PS'. Olivier Faure (...) imagine un gouvernement sans LFI à l'intérieur. Dans les temps mauvais comme on est, la stabilité, c'est une chose essentielle. Je me bats pour ça".

François Bayrou : "Il y a des forces politiques en France qui veulent le chaos"

"Il y a des forces politiques en France qui veulent le chaos", dit-il en nommant Jean-Luc Mélenchon

Quant à l'hypothèse d'une dissolution, François Bayrou répond : "La dissolution, on l'a vécue". "On ne peut pas dire qu'elle ait été une clarification magnifique. Comme on n'a pas changé le mode de scrutin (...) vous avez beau dissoudre, vous allez retrouver les mêmes divisions, les mêmes difficultés", ajoute-t-il.

Quels sont les scénarios possibles si le gouvernement Bayrou tombe ? La réponse dans notre article ci-dessous ⬇️

la france bientôt placée sous tutelle ? le "risque" est "imminent", selon bayrou

Alerte

François bayrou : "Je suis persuadé que le PS n'a pas très bien réfléchi"

Alerte

Se disant ouvert aux négociations, François Bayrou commente les propositions faites par le Parti socialistes, lors de ses universités d'été à Blois. "Le PS propose de laisser repartir la dépense", déclare-t-il. 

"Je suis persuadé qu'ils n'ont pas très bien réfléchi" ou qu'ils pensent dans "leur for intérieur que ce n'est pas possible", tacle-t-il mais assure leur "tendre la main à tout le monde".

il "faut que notre politique évolue" sur l'immigration, selon françois bayrou

La politique d'immigration en France "doit évoluer", constate François Bayrou. Selon le chef du gouvernement, cette évolution doit concerner tant le "volume" que "la capacité à maîtriser les entrées et les sorties du territoire".

"d'accord" pour réduire les contributions de la France à l'UE

François Bayrou commence une proposition faite par Marine Le Pen de réduire les contributions de la France à l'Union européenne. Le Premier ministre est "d'accord". 


"La contribution à l'Union européenne, c'est un très grand risque si on ne le paie pas (...) Je suis d'accord avec elle, que si on peut, il faut le faire, mais dire qu'on ne remplit pas nos engagements aura des conséquences", met-il en garde.

Vers la fin de l'abattement de 10% des retraités ?

"C'est un effort, je ne dis pas le contraire", reconnaît François Bayrou. Tout en précisant : "Nous n'avons pas supprimé, nous avons remplacé l'abattement par un abattement forfaitaire". Il juge ainsi qu'une "évolution de la mesure qui va faire gagner des centaines d'euros aux retraités modestes, du bas de l'échelle".

les "boomers" doivent-ils être mis à contribution ?

Afin de réaliser 44 milliards d'euros d'économies, François Bayrou estime que les retraités doivent être mis à contribution. "Je n'ai jamais dit qu'il fallait cibler les boomers dont je suis (...) J'ai dit que cette génération-là devrait être avec moi pour faire baisser la dette des plus jeunes", se défend le Premier ministre. Et d'ajouter qu'il souhaite "réveiller les ainés".

Selon un sondage Ipsos-BVA pour RTL, en partenariat avec CESI Ecole d’ingénieurs, une majorité de Français estime que les efforts doivent venir en priorité des foyers les plus fortunés (57%) et des grandes entreprises (46%). 

Les retraités sont-ils des privilégiés ? Retrouvez notre éclairage dans l'article ci-dessous ⬇️

2 jours fériés bientôt supprimés ?

Alerte

Lors de la présentation de son budget le 15 juillet dernier, François Bayrou a proposé la suppression de deux jours fériés, déclenchant l'ire de la classe politique. "Cette mesure est tout à fait discutable", a lancé François Bayrou. "C'est amendable", ajoute-t-il. Mais jusqu'où ? "Cela pourrait être 1 (jour, ndlr), sans difficulté", assure le Premier ministre.

Le chef du gouvernement a une nouvelle fois assuré que cette mesure était efficace. "Ce ne sont pas deux jours de travail en plus. C'est de la richesse pour le pays", lance le Premier ministre.

François bayrou : "on a un mois pour négocier"

À ceux qui le condamnent à quitter Matignon, François Bayrou assure qu'il existe toujours un chemin possible. "On a un mois pour négocier", déclare-t-il, sous-entendant qu'il peut obtenir le vote favorable des députés. 

Le Parti socialiste a présenté le 30 août son contre-budget. Leurs propositions reviennent à dire "qu'on ne fait rien", juge le Premier ministre. 

Les socialistes proposent notamment de réduire le déficit de 21,7 milliards d'euros en 2026, environ deux fois moins que les 44 milliards mis sur la table par le gouvernement.

François Bayrou : "On est arrivé à une accumulation"

Toujours sur la question de la responsabilité, François Bayrou explique : "On n'a pas présenté un budget en France en équilibre depuis 51 ans". "On est arrivé à une accumulation, ajoute-t-il. Si les Français savaient nous n'en serions pas là, il y aurait de leur part un mouvement de mobilisation".

quelle est la responsabilité du camp présidentiel ?

Le camp présidentiel est-il responsable de la situation déficitaire de la France ? "Tous les opposants sans exception, exigeaient que l’on fasse plus. Ils montaient à la tribune (de l'hémicycle de l'Assemblée nationale, ndlr) pour dire que ce n’était pas assez", répond François Bayrou. 

la réponse au parti socialiste

En réponse aux propos d'Olivier Faure qui a assuré que ses députés voteront contre la confiance au gouvernement, François Bayrou indique : "Olivier Faure veut être à Matignon avec un gouvernement dont il aurait exclu LFI. Je ne vois où il trouverait d’autres soutiens et d’autres voix". 

l'interview de françois bayrou commence

Le ton est donné dès ses premiers mots : "Je ne dirais sûrement pas au revoir", déclare d'emblée François Bayrou.
"Si le gouvernement tombe (...) Ça veut dire que l'on changera de politique. On abandonnerait la politique vitale pour le pays, la politique sans laquelle le pays se place en danger extrême. On abandonnerait cette politique pour en prendre une autre plus laxiste", indique François Bayrou

Si le gouvernement tombe (...) Ça veut dire que l'on changera de politique

François Bayrou

qui peut succéder à François Bayrou ?

À l'Élysée, la situation est observée avec attention. Emmanuel Macron a indiqué à deux reprises apporter son soutien à son Premier ministre. "Je pense qu'il a eu raison de mettre en responsabilité les forces politiques et parlementaires, face à la situation qui est connue du pays. C'est fait avec méthode (...) il faut rentrer ensuite dans le temps des discussions, des mesures techniques", a déclaré Emmanuel Macron le 29 août. 


En coulisses, les différentes options sont à l'étude, avec notamment l'arrivée d'un nouveau Premier ministre à Matignon. Les dernières tractations à retrouver ci-dessous ⬇️

olivier faure : "Notre décision est irrévocable", Bayrou doit dire "au revoir"

Du côté du Parti socialiste, la messe est dite. Sur BFMTV, Olivier Faure a indiqué que la décision de son parti de voter contre la confiance à François Bayrou "est irrévocable". "Le seul mot que j'attends de lui maintenant, c'est de dire au revoir", a-t-il déclaré en qualifiant la multiplication des interventions du chef du gouvernement comme "une tournée d'adieux".

Une rénovation du bureau de Bayrou à Pau pour 40.000 euros

En parallèle des questions budgétaires, François Bayrou est face à une polémique. Selon Mediapart, le Premier ministre a engagé des travaux au sein de son bureau à Pau pour la somme de 40.000 euros. 

Il a jugé "insultante" et "dingue" la polémique, dans un entretien à Sud Ouest. "Tout ceci est complètement dingue ! À l'hôtel de ville, on a refait tous les bureaux, toutes les salles de réunion, la salle des mariages, etc. Le seul bureau qui n'a pas été fait, parce que j'ai souhaité que les autres aient la priorité, c'est celui du maire. Un bureau qui a plus de trente ans et qui tombe en ruines", a-t-il indiqué. 
 

"François Bayrou devrait présenter ses excuses aux Français"

Les positions se sont cristallisées à huit jours du vote de confiance au gouvernement de François Bayrou. Invité du Grand Jury sur RTL, le vice-président du Rassemblement national, Sébastien Chenu, demande au Premier ministre de "présenter ses excuses aux Français", pour avoir "amené notre pays aux portes de la ruine".

Selon le député RN, le chef du gouvernement est "l'accélérateur de l'instabilité". Un extrait à retrouver ci-dessous ⬇️

bonjour à tous !

Bienvenue dans ce live consacré à l'interview de François Bayrou, ce dimanche 31 août.

Si François Bayrou semble avoir déjà perdu la bataille politique, le Premier ministre tente de remporter la bataille de l'opinion. C'est pourquoi le chef du gouvernement répond, ce dimanche 31 août, aux questions de BFMTV, Cnews, Franceinfo et LCI.

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