Ça picole sec à la porte de Versailles. Si ce n’est pas nouveau, cette année on a franchi un palier dans l’amour de nos terroirs. "Une ambiance de beuverie", expliquent des exposants dans le journal Sud Ouest. L’un d’eux raconte même, pardon pour les détails : "Le vendredi et le samedi, c’était n’importe quoi. Une jeune fille s’est emparée de mon crachoir à vin pour vomir dedans".
La technique est assez imparable, on vient en groupe, on achète un peu, on déguste beaucoup. Parce que c’est important de bien goûter. Ensuite, on peut aussi passer par les stands des brasseurs, ou celui de l’outre-mer pour des mélanges un peu plus fruités. Des stands réunionnais ont d’ailleurs été abîmés et pillés lors du week-end d'ouverture, les 25 et 26 février, par des fêtards.
RTL peut vous le confirmer : samedi, les bouteilles vides s'amoncelaient à l’arrière des stands et que cela titubait dans les allées à partir de 14 heures. Si on se dépêche de s’alcooliser, c’est parce qu’à 19h, c’est fini. Il y avait bien des nocturnes il y a quelques années, mais elles ont été supprimées à cause de ces... mêmes excès.
Face à cela, la direction du salon a dû faire passer un message pour demander aux exposants d’être un peu plus vigilants sur l’état de leurs clients.
On n’est pas là pour faire la morale, le salon doit garder son côté festif et unique. Il n'en reste pas moins que c’est un endroit où on veut pouvoir se balader en famille. Surtout avec les vacances d'hiver et le dernier week-end d'ouverture. Alors, avis aux intéressés : il y a à boire, mais il y a aussi à manger à la porte de Versailles.
Commentaires
Afin d'assurer la sécurité et la qualité de ce site, nous vous demandons de vous identifier pour laisser vos commentaires.
Cette inscription sera valable sur le site RTL.fr.