Le procureur
de la République de Soissons a publié mardi 3 novembre un communiqué sur les
conclusions de l'enquête à propos de la mort d'Élisa Pilarski.
C'est
l'épilogue d'une histoire qui avait horrifié la France. Il y a un an, on
retrouvait dans une forêt de l'Aisne le corps sans vie d'Élisa Pisarski criblé
de morsures de chien. Cette jeune femme enceinte de 6 mois avait été
mortellement attaquée lors d'une promenade avec Curtis, le pitbull de son compagnon.
Ce dernier
avait immédiatement mis en cause une meute de chiens de chasse à courre qui
était à proximité. Une campagne anti-chasse avait été lancée et même relayée
par des influenceurs qui présentaient les chiens de chasse comme responsables
de cette attaque. Les
chasseurs ont été traité d'assassins, ils ont été jetés en pâture sur les
réseaux sociaux, alors même que selon la société de vènerie aucun accident
corporel humain n'avait jamais été révélé au cours d'une partie de chasse à courre.
Les tests ADN confirment sans aucun doute l'innocence absolue des chiens de chasse
Eric Brunet
Après un an d'enquête, les expertises ont enfin parlé cette semaine. Les tests ADN et l'analyse des morsures confirment sans aucun doute possible la responsabilité du pitbull Curtis et l'innocence absolue des chiens de chasse.
Dans cette
affaire, on a aussi découvert que Curtis était issu d'une sélection de chiens
de combat illégale en France. Si on veut interdire la chasse à courre, organisons
un débat démocratique mais cessons d'exploiter des faits divers au détriment de
la vérité.
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