Après une alerte à la bombe, l'avion de la compagnie irlandaise Ryanair s'est posé sans encombre en milieu de journée, vendredi 17 juillet, à l'aéroport international de Gardermoen, à une cinquantaine de kilomètres au nord-est de la capitale norvégienne, Oslo.
Selon les médias norvégiens, la menace avait la forme d'une note écrite retrouvée à bord de l'avion, laquelle a déclenché une alerte environ 40 minutes avant l'atterrissage. Les 142 passagers ont tous été évacués. Aucun blessé n'a été rapporté.
La police norvégienne a arrêté un Britannique de 51 ans, il est suspecté d'avoir déclenché l'alerte à la bombe en plein vol. "Nous avons lancé une enquête et nous entendrons l'homme le plus rapidement possible", a déclaré un responsable de la police, Olav Unnestad, dans un communiqué.
D'après le site spécialisé Flightradar24, l'appareil est un Boeing 737 qui avait décollé de l'aéroport londonien de Standsted en début de matinée. L'incident a entraîné le déploiement à Gardermoen d'importantes forces de police, y compris une équipe d'élite d'intervention et des démineurs qui ont entrepris l'inspection de l'avion. L'appareil a été escorté par des chasseurs F16 danois qui ont franchi le mur du son pour le rejoindre dans les airs.
Mardi 14 juillet, une autre alerte à la bombe a eu lieu à bord d'un appareil de Ryanair reliant Cracovie à Dublin. Il avait été contraint de se poser à Londres après la découverte dans les toilettes d'une note affirmant qu'il y avait des explosifs à bord. La police britannique avait arrêté deux hommes.
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