Donald Trump a-t-il réécrit l’histoire des dernières heures d’al-Baghdadi ? Question légitime après la diffusion par le Pentagone des images du raid américain contre le chef de Daesh en Syrie. Le président des Etats-Unis avait annoncé la mort Abou Bakr al-Baghdadi dimanche 27 octobre, à grand renforts de détails.
Un récit, pas vraiment fidèle aux vidéos diffusées par l’armée américaine. Quelques photos et brèves vidéos aériennes, sans son, en noir et blanc, granuleuses - car il faisait nuit - ont ainsi été dévoilées. On distingue les forces spéciales s'approcher du bâtiment. Quand des jihadistes refusent de se rendre et menacent les Américains, ils sont fauchés par deux frappes tirés depuis des hélicoptères en survol.
On voit aussi l'image finale : le gros nuage noir de la destruction du bâtiment par une lourde frappe une fois que tout est terminé. Ce sont ces images que regardait en direct le président Trump lorsqu'il suivait l'opération depuis la salle de crise. On y voit ni gémissement, ni pleurs d'al-Baghdadi, que le Président a pourtant répété avec insistance, avoir entendu lors de son récit détaillé, spectaculaire sur les derniers instants du chef de Daesh.
Le général qui a supervisé l'opération est embarrassé : il ne peut pas confirmer ce qu'a raconté Donald Trump qui disait pourtant que c'était "comme dans un film". Personne d'autres n'a pourtant vu ce film...
Bayonne - La colère d’un fils. Son père de 78 ans a été grièvement blessé, touché par les balles de Claude Sinké devant la mosquée de Bayonne. Un suspect mis en examen et placé en détention provisoire, mais le parquet national antiterroriste ne s’est pas saisi du dossier. Incompréhensible pour Karim.
Emmanuel Macron - Le président de la République l’avait promis. Le chef de l’Etat est allé à Rouen, un mois après l’incendie de l’usine Lubrizol. Il a salué “la compétence” et le “sang froid” des services de l’Etat après l’incident. Pas de quoi convaincre des manifestants tenus à distance, ni rassurer une population inquiète.
Boeing - Les Etats Unis où Boeing a décidé d’immobiliser 50 de ses avions 737 NG. Des fissures structurelles ont été découvertes lors d’une inspection générale des appareils. Un coup dur de plus pour Boeing après les crashs de deux 737 Max. Pour le consultant en transports, Gérard Feldzer, le constructeur n’a plus droit à l’erreur.
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