Quelle réponse apporterait l'Europe à une éventuelle attaque nucléaire sur le sol ukrainien ? Le chef de la diplomatie des vingt-sept, Josep Borrell, s'est montré plus clair qu'Emmanuel Macron mercredi soir, qui avait fait comprendre que l'Europe ne réagirait pas. "Nous ne voulons pas d’une guerre mondiale. (...) Nous soutenons l’Ukraine dans sa résistance, sans participer à la guerre", avait déclaré le chef de l'État.
"Poutine dit qu'il ne bluff pas avec la menace nucléaire. Il doit alors comprendre que les pays qui soutiennent l'Ukraine, l'Union européenne et ses États membres, les États-Unis et l'OTAN ne bluffent pas non plus", a réagi Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne.
"Toute attaque nucléaire contre l'Ukraine entraînera une réponse. Pas une réponse nucléaire, mais une réponse militaire si puissante que l'armée russe sera anéantie". Une mise en garde très claire, en totale opposition avec les propos d'Emmanuel Macron sur France 2.
Grève chez TotalEnergies - La CGT a claqué la porte lors des négociations la nuit dernière, dénonçant une "mascarade". La CFDT a de son côté accepté un compromis.
Samuel Paty - Deux ans après l'assassinat du professeur, la mouvance islamiste joue toujours de son influence dans les écoles. Plus de 300 signalements pour des atteintes à la laïcité ont été signalés depuis la rentrée, selon le ministère de l'Éducation nationale.
États-Unis - Cinq personnes ont été tuées en Caroline du Nord par un homme armé. Ce dernier a été interpellé et placé en détention.
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