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Ursula von der Leyen, Keir Starmer, Alexander Stubb, Volodymyr Zelensky, Donald Trump, Emmanuel Macron, Giorgia Meloni, Friedrich Merz et le secrétaire général de l'OTAN Mark Rutte
Crédit : ANDREW CABALLERO-REYNOLDS / AFP
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Une trentaine de représentants européens se sont retrouvés à l'Élysée ce jeudi 4 septembre en soutien à l'Ukraine. Le président de la République Emmanuel Macron a présidé une réunion de la "Coalition des volontaires", afin d'aborder le sujet d'un cessez-le-feu en Ukraine.
Vingt-six pays, essentiellement européens, se sont "engagés" à participer à une "force de réassurance" dans le cadre d'un futur cessez-le-feu russo-ukrainien. D'après Emmanuel Macron, ces alliés se disent prêts à déployer des troupes en Ukraine. Certains pourraient aussi être "présents sur le sol, en mer ou dans les airs". Un engagement salué par Volodymyr Zelensky : "Je pense qu'aujourd'hui, pour la première fois depuis un long moment, c'est la première avancée concrète aussi sérieuse", a déclaré le président ukrainien depuis Paris, aux côtés de son homologue français Emmanuel Macron.
"Cette force n'a pas pour volonté ou pour objectif de mener quelque guerre contre la Russie", a dit le président français devant la presse à Paris. Après un échange en visioconférence avec Donald Trump, il a assuré que le "soutien américain" à ces "garanties de sécurité" pour Kiev serait finalisé "dans les prochains jours".
De son côté, l'Italie a réitéré jeudi qu'elle ne déploierait pas de troupes en Ukraine. La Première ministre Giorgia Meloni a souligné "l'indisponibilité de l'Italie à envoyer des soldats en Ukraine", selon un communiqué de la présidence du Conseil, ajoutant que Rome pouvait "soutenir un éventuel cessez-le feu par le biais d'initiatives de surveillance et de formation à l'extérieur des frontières ukrainiennes".
Emmanuel Macron a aussi déclaré que les Européens prendraient de nouvelles sanctions "en lien avec les États-Unis" si Moscou continue de refuser la paix. D'après le président français, les Américains "ont été très clairs" sur leur participation aux garanties de sécurité. Il a également appelé les forces politiques à faire preuve de "responsabilité" et assurer la "stabilité" alors que le gouvernement de François Bayrou pourrait tomber lundi.
"La recomposition du monde change beaucoup de choses pour notre Europe. Dans ce contexte, la France doit continuer d'avancer et c'est avec une volonté d'ambition, de responsabilité, de stabilité et de respect pour la diversité des formations politiques que nous devons aborder tous ces débats", a affirmé le président de la République après une réunion à Paris sur l'Ukraine. "Et j'espère que c'est avec cet esprit et en poursuivant ces principes que les jours et semaines à venir seront abordés."
Lors d'une conversation téléphonique jeudi entre Donald Trump et des dirigeants européens depuis Paris, le président américain a également fait savoir qu'il était "très mécontent" des achats de pétrole russe par des pays de l'UE, a affirmé Volodymyr Zelensky, en citant la Slovaquie et la Hongrie, lors d'une conférence de presse conjointe avec Emmanuel Macron à l'Elysée.
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