En 2017, la mère de Philippe décède. En tant
qu’héritiers, son frère, sa sœur et lui-même, mettent en vente la maison. Les
visites ne sont pas légion. Mais, au bout d’un an, bingo ! Ils acceptent
une offre de 104.000€ et signent un compromis de vente sans conditions
suspensives. L’acheteuse reçoit bien tous les documents nécessaires le 6
septembre 2018. A partir de cette date, elle dispose de 10 jours pour se
rétracter sous peine de perdre son dépôt de séquestre de 10.000 € au profit des
héritiers. Pendant cette période, Philippe n’a aucune nouvelle.
En revanche, 43 jours après, l’acquéresse
prévient qu’elle ne souhaite plus acheter le bien. A ce moment-là, Philippe pense légitimement toucher le séquestre. A la place, il apprend qu’elle n’avait
toujours pas effectué le virement au notaire ! Pendant plusieurs mois,
lui et l’agence immobilière tentent en vain de raisonner cette dame pour
qu’elle règle ce qu’elle doit. Mais le dialogue s’avère difficile.
Fatigué par cette situation, Philippe finit
par accepter la proposition de son avocat pour qu’elle ne règle que 7.000€.
Malheureusement, Philippe et sa famille ne toucheront jamais cette somme.
Pour l’acheteuse, les négociations seraient rompues étant donné que l’agence immobilière lui réclame également 5.000 € d’honoraires… Depuis, il a beau
relancer, c’est le silence-radio…
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