Le 2 décembre 2016, Nathalie devient propriétaire d’une petite maison de ville. Au fil des mois, elle découvre que le mur mitoyen avec la copropriété voisine se déforme. Ce défaut serait dû à des travaux antérieurs réalisés sur la chaussée privative de cette copropriété. Elle fait part de son inquiétude au syndic en charge de ses affaires.
Malheureusement, rien n’est fait pour consolider l’édifice. Et, en février 2018, l’inévitable se produit : une partie du mur s’effondre chez elle. Le syndic n’a plus le choix. Il envoie cette fois un maçon. Mais une fois sur place, l’artisan se contente de sécuriser les lieux en installant une clôture métallique provisoire.
Puis, au grand étonnement de Nathalie, le syndic lui évoque un devis de 15.000 euros qu’il lui faudrait régler à 50 % pour reconstruire le mur. Ne se sentant coupable de rien dans cette histoire, Nathalie refuse de payer. À la place, elle fait appel à son assurance.
S’ensuit une expertise contradictoire en juin 2020 dont le résultat confirme la pleine responsabilité de la copropriété. Malgré cette conclusion, le syndic ne revient jamais vers elle. Il ne prend même pas le soin de répondre à son courrier recommandé.
Les conséquences ? Ces panneaux métalliques soutenus par des bastaings rendent son jardin dangereux. Sans compter que sa propriété donne l’impression d’être constamment en chantier. Nathalie espère que le syndic va prendre en charge la reconstruction du mur au plus vite.
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