VIDÉO - Bertrand Chameroy décrypte les vœux présidentiels

Cette rentrée est assez rude pour tout le monde. Non mais qui a eu l'idée de cette reprise un deux janvier… pas 3, non deux ! Retour à la réalité. Tout le monde au turbin… Ah, 2023 on l'attaque sans préliminaires ! C'est un peu violent. Alors la tradition voudrait que ce matin, je vous souhaite une "bonne" année mais je ne céderai pas à ce phénomène car on sait très bien comment ça se termine.

Chaque 31 décembre, y'a un monsieur qui déboule dans la télé pendant l'apéro pour nous la souhaiter "bonne". Et puis on est toujours déçu… Pour ses vœux pour 2023, le Président a pris moins de risque en expliquant, depuis ce qui semble être la médiathèque du collège Jean Ferrat que je cite "les vœux obligent à parler d'un futur qu'en vérité on ne connaît pas !"

Propos étayé par cette vanne, oui parce qu'il y avait des vannes dans ses vœux : "Qui aurait pu prédire la crise climatique ?". C'est vrai ça ! Si on met de côté les 12,700 rapports du GIEC, les COP et le fait qu'on réveillonne en short entre des inondations et des feux de forêts, personne n'aurait pu prédire cette crise.

Des vœux qui comportaient donc beaucoup de questions. Des vœux façons pub pour SMS surtaxés pour connaître l'avenir : "Pour le savoir… Envoie MACRON au 2023... MACRON au 2023 !".

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