Vendredi 21 avril, les syndicats de la CGT Énergie ont annoncé "100 jours d'actions et colère", notamment le 3 mai. Ils réclament que la réforme des retraites ne soit pas appliquée et dénoncent les "méthodes antidémocratiques" du gouvernement.
"Macron a promis 100 jours pour apaiser, nous lui promettons 100 jours d'actions et de colère !" ont déclaré dans un communiqué les syndicats de la Fédération nationale Mines Énergie (FNME) CGT, au terme d'un "conseil général" tenu vendredi 21 avril.
Des journées de mobilisation interprofessionnelle sont prévues les 28 avril et 1er mai. La FNME indique également "une journée nationale de colère dans l'énergie le 3 mai". La "grévilla", selon les termes de l'organisation, se poursuivra aussi avec des "perturbations énergétiques" lors des déplacements de l'exécutif.
"Le festival du film de Cannes, le Grand Prix de Monaco, le tournoi de Roland-Garros, le festival d'Avignon pourraient se retrouver dans le noir ! On ne lâchera rien !", ont-ils ajouté.
Parmi ces actions, la CGT a revendiqué deux coupures de courant à l'aéroport de Montpellier et dans un collège de l'Hérault, jeudi 20 avril, à l'occasion d'un déplacement d'Emmanuel Macron.
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