Les syndicats de la CGT Énergie ont annoncé, ce vendredi, "100 jours d'actions et colère", notamment le 3 mai, réclamant que la réforme des retraites ne soit pas appliquée et dénonçant les "méthodes antidémocratiques" du Gouvernement. Lors des derniers déplacements du président de la République, ils ont déjà mis en place des actions.
Au terme d'un "conseil général", les syndicats de la Fédération nationale Mines Energie (FNME) CGT ont indiqué dans un communiqué : "Macron a promis 100 jours pour apaiser, nous lui promettons 100 jours d'actions et de colère ! L'heure est loin d'être à la résignation".
Et d'ajouter : "Nos débats font ressortir des positions offensives, fermes et unanimes," qui s'exprimeront notamment lors des journées de mobilisation interprofessionnelle. Par ailleurs, la FNME, qui veut être être "imaginative", a promis des "perturbations énergétiques" lors des déplacements de l'Exécutif.
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