Les infos de 18h - Gare de Lyon : un chat sauvé sur les rails par une décision radicale de la SNCF
La SNCF semble avoir appris de sa condamnation pour "négligences" après avoir laissé un chat prénommé Neko se faire écraser en Gare de Montparnasse début janvier. Ce jeudi, un nouveau félidé en fuite a cette fois été sauvé.
La SNCF a, semble-t-il, appris de la mort de Neko. Après avoir été condamnée pour négligences pour la mort de ce chat en gare Montparnasse, mort écrasé sous un train début janvier, un autre matou, lui, a pu être sauvé ce jeudi 6 juillet. Un sauvetage qui s'est déroulé en Gare de Lyon, à Paris.
Et cette fois, la mésaventure du petit félidé s'est bien terminée. Que s'est-il donc passé ? Un passager un peu étourdi du TGV Paris-Nice ce jeudi a vu son chat s'échapper sous les essieux des roues du train à grande vitesse. Les agents pouvaient l'entendre miauler et le voir. Ils ont donc pris une décision radicale : couper l'électricité de la rame pendant plus d'une heure pour aller le sauver.
Ce vendredi matin, le directeur des lignes TGV Alain Krakovitch était en Gare de Lyon. Il a accepté de commenter ce nouvel incident au micro de RTL, assurant cependant que la mort de Neko n'avait pas changé la procédure : "On applique la même procédure, c'est une procédure de bon sens", explique-t-il. Et de préciser ses propos : "C'est simple : si on voit le chat, ou si on l'entend, on ne fait pas partir le train".
Une histoire qui finit bien, même si l'opération de sauvetage a tout de même retardé des milliers de voyageurs, parfois pour plus d'une heure, dans différentes directions.
À écouter également dans ce journal
Vacances d'été - Coup d'envoi pour les grandes vacances en ce début du mois du juillet. Après la sortie des classes, et les premiers départs, sur les routes, près de 900 kilomètres de bouchons sont constatés à travers toute la France. Dans les gares, 1, 400.000 million de voyageurs sont attendus ce week-end.
Émeutes - Après une semaine de tensions et d'émeutes dans toute la France, le temps est désormais aux investigations et surtout, aux interpellations. Les enquêteurs remontent notamment le fil des réseaux sociaux car de nombreux incidents ont été amplifiés par des messages publiés en ligne. Leurs auteurs commencent à être arrêtés.
Syrie - Après un 10e et dernier rapatriement de femmes et d'enfants venus de Syrie, la France a fait savoir ce vendredi qu'elle ne procéderait pas à de nouvelles opérations. RTL fait le point.
