Le meilleur de Laurent Gerra avec Bertrand Delanoë et Jean-Pierre Pernaut

Aujourd'hui, Bertrand Delanoë va "coussi-coussa". "Comme la Tunisie a déclaré le confinement, je ne peux pas sortir et je déprime", explique-t-il. Pour lutter contre la morosité, il écoute la Compagnie Créole et se fait de bons petits plats. 

L'ancien maire de Paris sort de chez lui pour aller sur le marché et acheter des pastèques. "Une fois qu'elles sont mangées, on peut garder la peau pour se faire un masque et ne pas contaminer les autres", dit-il.

Jean-Pierre Pernaut arrive sur le plateau. "Comme le dit un proverbe : quand les Chinois bouffent du pangolin, les intermittents sont dans le pétrin", s'amuse-t-il. "Ce ne sont pas seulement les grands festivals institutionnels qui sont touchés mais aussi ces petites rencontres moins connues, de nos régions que nous aimons tant", pointe-t-il. 

Il prend l'exemple du Festival des Vieilles Charrues que l'on connait bien, mais on ne parle pas des Veilles morues, un concours de beauté organisé par la ville de Matte-un-peu-les-boudins qui donne l'élection de Miss Cageot qui n'aura malheureusement pas lieu cette année.