"Il y a comme un manque. Pas de jeunes dans la rue. Pas de cris 'le fascisme ne passera pas'. Pas d’émission sur France Télévisions pour rappeler les heures les plus sombres de notre histoire. Tout fout le camp", constate Éric Zemmour, qui note que "le front républicain a des ratés". Et d'ajouter, un brin railleur : "Heureusement, il reste les représentants des religions (...) pour se mettre comme un seul homme derrière Emmanuel Macron".
"Pourtant, tout avait commencé sur les chapeaux de roue", constate le journaliste, rappelant qu'au soir du premier tour François Fillon s'est "empressé d'annoncer son ralliement à son rival heureux". Sauf que "Jean-Luc Mélenchon, lui, ne jouait pas le jeu et refusait de se coucher devant le nouveau maître".
"Dans sa campagne, le candidat de la France Insoumise (...) a refusé de rester dans les vieilles cases de l’affrontement droite-gauche", note Éric Zemmour. "Pour Mélenchon, Marine Le Pen n’est pas un adversaire, mais un rival", poursuit-il.
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