C'est une étude qui pourrait faire date dans l'histoire de la pandémie du coronavirus. Ana Rodriguez, une professeure en microbiologie à la Grossman School of Medicine à New-York, à démontré qu'une simple prise de sang pourrait détecter si un individu est susceptible de développer une forme grave au coronavirus.
Selon la chercheuse américaine c'est la réaction du corps humain à l'infection qui serait responsable des formes graves, et non le virus lui-même. Révélée par Slate.fr, cette découverte pourrait permettre aux soignants de mettre sous surveillance rapprochée les patients selon leurs résultats sanguins, et ainsi, avoir une longueur d'avance sur le virus.
L'équipe d'Ana Rodriguez a effectué des recherches sur 115 personnes hospitalisées en 2020 pour une infection au coronavirus, dont la moitié avaient eu une forme grave. Son but : détecter le niveau des anticorps dirigés contre l'ADN. Résultats : ceux dont le taux était élevé avaient environ 90% de risques de voir leur état de santé se détériorer.
Même si les tests n'ont pu révéler qu'un quart des personnes ayant développé des formes graves, si l'analyse sanguine n'est pas bonne, il y a de très fortes chances que l'infection au coronavirus soit plus compliquée que la normale. Il est donc primordial de rester sous surveillance.
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