Pression maximale mise par les joueuses et un bras de fer est engagé avec la Fédération. Renard, Katoto, Diani, une capitaine et deux attaquantes, des noms et des statuts qui pèsent en Équipe de France féminine.
La situation actuelle montre que les conflits des saisons précédentes n'ont finalement jamais été réglés. Le management de la sélectionneuse, Corinne Diacre, ne passe plus, le staff n'est pas assez fourni. La Coupe du monde est dans cinq mois, mais une partie du groupe France pense que viser une finale est totalement illusoire.
Les joueuses s'engouffrent aussi dans le contexte actuel tourmenté de la Fédération. Le président Noël Le Graët et la directrice générale Florence Hardouin, bientôt débarqués, ont appuyé dans le passé pour le maintien de Corinne Diacre.
Que va faire le comité exécutif mardi prochain ? Il va devoir trancher. Vendredi soir, dans un communiqué, la Fédération rappelait qu'aucune individualité n'était au-dessus de l'institution Équipe de France.
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