"Zone Interdite", "Masterchef"... Que regarder à la télévision ce mardi 30 août ?

Au programme de votre soirée télé ce mardi 30 août : le dernier Zone Interdite de l'été, consacré aux îles et îlots français (proches de la métropole) qui font rêver les vacanciers. Pour les gourmands, France 2 propose le deuxième épisode de Masterchef. Le service public a repris le concours culinaire de TF1, mais était-ce bien nécessaire ?

C'est vrai qu'on peut se le demander vu les audiences : 1.817.000 curieux pour la première mardi dernier. Ce n'est pas une débâcle complète, mais la mayonnaise ne prend pas vraiment. Fallait-il un concours de plus ? Est-ce du réchauffé ? "Je pense que ce n'est pas possible que France 2 n'ait pas de cuisine dans sa grille", répond la présentatrice du programme Agathe Lecaron. "Masterchef c'est quand même le concours qui marche le mieux dans le monde, il est présent dans 35 pays. Quitte à choisir un programme de cuisine, autant prendre le meilleur et le transformer à la sauce 'service public'", justifie l'animatrice.

Le classement Médiamétrie sera sans doute le même que mardi dernier : à la première place, la fiction de France 3 avec Patrick Fiori en éducateur jadis injustement condamné, 2e Mask Singer avec notre copine Chantal Ladesou, et loin derrière Masterchef. On verra ça demain, mais pour finir, je signale sur Arte Instagram, la foire aux vanités, l'histoire de ce réseau social de sa naissance à son développement tentaculaire, avec imposition de diktats physiques.

Les infos médias

La société de production ALP, qui produit Koh Lanta, actuellement en cours de tournage, envisagerait de réagir officiellement après avoir constaté que les organisateurs du Koh Lanta en prison avaient déposé la marque "Kohlantess". Sans juger le fond, mais pour la forme, la société envisage de rappeler que Koh Lanta est une marque déjà déposée et que personne ne peut donc se l'approprier et la décliner.

La société 2P2L, à qui on doit entre autres La maison des maternelles, a décidé d'appliquer le congé menstruel. Ce congé, je le rappelle, permet aux salariées, en cas de règles douloureuses, de prendre sans justification une journée de congé payée par l'entreprise et non décomptée... Cette innovation n'est, si j'ose dire, pas la règle. Bilan l'été prochain.