Ce 19 janvier à 21h06, M6 diffuse la deuxième soirée du Morning Night, un divertissement conçu pour faire rire le public durant 2h15. En mars dernier, la première du Morning Night avait été suivie par 3.5 millions de spectateurs avec un pic à 4 millions.
Faut-il vraiment rappeler que la joyeuse bande du Morning Live, il y a 20 ans, assurait chaque matin le réveil des Français à coup de mégaphone, blagues potaches et défis déjantés ? C'était l'époque avant les réseaux sociaux et le virus. Le tournage de cette deuxième émission était juste avant la crise sanitaire. "On a 20 ans de plus, donc ça aide à avoir un peu plus de maturité, quoiqu'il y ait certains sketchs on est aussi régressifs qu'à l'époque. Mais ce qui était très agréable, c'est que comme il y a 20 ans, M6 nous a laissé carte blanche et je ne dis pas ça parce que je suis corporate parce que c'est vrai", démarre Michaël Youn.
"La différence, c'est qu'on sait qu'on en est en prime, qu'il y des enfants qui nous regardent, donc on n'a pas fait complètement n'importe quoi. Je ne sais pas dans quel monde on est, mais, je pense qu'à partir du moment où on est bienveillant, on peut continuer à faire rire avec ce qu'on a envie de faire rire", poursuit l'animateur.
On peut rappeler que 29% des femmes avaient suivi le 19 mars dernier, et pourtant, les féministes le soupçonnent assez volontiers de sexisme, et il se met moins à nu, au sens propre. "Je n'ai jamais eu de problèmes avec les féministes. Je pense que je suis un fervent défenseur du féminisme. La preuve, c'est que Fatal Bazooka vient de revenir avec un titre Le Bwerk, qui est une version masculine du twerk, parce que justement on en avait marre de voir dans les clips de rap, toujours des femmes bouger leurs boules, il était temps que les hommes bougent leurs boules", explique l'animateur.