"Ils ont cru que c'était un squat" : Philippe Caverivière revient sur le cambriolage du domicile de François Hollande

Le 22 novembre 2025, en début de soirée, le domicile de François Hollande, situé dans le 20e arrondissement de Paris, a été cambriolé. L'ancien président de la République était invité de RTL ce mardi 9 décembre. Dans sa chronique, Philippe Caverivière a tenu à lui donner quelques conseils pour améliorer sa sécurité.

L'humoriste a, dans un premier temps, diffusé une publicité : "Avec l'alarme V. les intrus sont détectés avant qu'ils ne pénètrent dans votre domicile. Et, en plus, elle prévient les forces de l'ordre". Et, d'ajouter : "Alors, les forces de l'ordre étaient déjà sur place, donc c'est un peu le problème".

Face à François Hollande, Philippe Caverivière est revenu sur les faits : "Les cambrioleurs ont vu la maison ouverte, pas de lumière, ils ont cru que c'était un squat. J'ignore à quoi ressemble votre papier peint, mais il va falloir revoir la déco", a-t-il déclaré. Et, d'ajouter : "Dommage que le cambrioleur soit revenu pour reprendre sa vapoteuse, parce qu'il aurait réalisé le premier cambriolage déficitaire de l'histoire". 

Avant la chronique de l'humoriste, le député de Corrèze était revenu sur l'événement avec dérision : "Je veux ici préciser : ma maison n'est pas un squat, donc je laisse cette argumentation à la défense, pour rassurer les Français".

François Hollande va écrire "Journal d'un recandidat"

L'humoriste en a profité pour finir sa chronique par de la littérature. "Je veux citer l'auteur, l'écrivain, le poète, Nicolas Sarkozy, qui a cet aphorisme superbe : 'La prison, c'est dur'. C'est beau, c'est un haïku, c'est japonais, c'est minimaliste", dont les premières feuilles de son livre Journal d'un prisonnier sont sorties.

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Et, de poursuivre : "On entend le deuxième tome : 'La liberté, c'est mieux que l'enfermement'". "On apprend que Nicolas [Sarkozy] a fait du jogging sur un tapis de course. Il a fait comme [Sébastien] Lecornu, du surplace en transpirant", a-t-il ironisé. "Le livre s'appelle Journal d'un prisonnier. François [Hollande], vous venez pour écrire ce livre, Journal d'un recandidat", a-t-il conclu.