Philippe Caverivière : "En échange des pandas, la Chine nous a rendu Jean-Pierre Raffarin, qui retournera vivre dans son enclos du zoo de Beauval"

Le mardi 25 novembre, le couple de pandas géants du zoo de Beauval a été rendu à la Chine, après avoir passé 13 ans en France. L'occasion pour Philippe Caverivière d'évoquer ce transfert dans sa chronique du 3 décembre, dont la thématique était centrée sur l'Empire du Milieu, en raison de la visite d'Emmanuel Macron.

"En échange des pandas, la Chine nous a rendu Jean-Pierre Raffarin, qui retournera vivre dans son enclos du zoo de Beauval", a-t-il commencé. Et de mettre en garde : "On le répète aux visiteurs, il ne faut pas donner à manger à Jean-Pierre Raffarin". "Un panda, c'est vrai que c'est mignon. En plus, on dirait qu'il a deux coquards sur les yeux. En fait, c'est un ours blanc qui vit en couple avec Jean Imbert", poursuit-il.

L'humoriste en a profité pour proposer un jeu à ses camarades autour de la table. Une succession de question où il faut deviner s'il s'agit de Jean-Pierre Raffarin, un panda... ou les deux. "Il mesure 1,65 m pour 110 kilos ? La bonne réponse était le panda, car Jean-Pierre Raffarin fait 1,71 m. Lequel des deux est le symbole des espèces en voie de disparition ? La réponse était les deux, puisque Les Républicains sont moins nombreux que les pandas", s'est amusé Philippe Caverivière.

"Lequel des deux ne féconde sa femelle que trois jours par an ? Encore une fois, c'était les deux qu'il fallait répondre. Enfin, dernière question, en club échangiste, on le surnomme bandit-banda. Qui suis-je ?", conclut-il, en référence au morceau de Chantal Goya, Pandi-Panda.