Le contexte - Marion Maréchal-Le Pen a déclaré dimanche 20 mars qu'"il n'y aurait probablement pas eu de 13 novembre" si le Front national avait été pouvoir à ce moment. Cette remarque, prononcée sur BFMTV, a déclenché la polémique. La députée du Vaucluse signe ainsi sa deuxième sortie provocatrice en quelques jours, après avoir lié le mariage pour tous à la polygamie lors d'un déplacement en Italie.
Mais ce n'est pas une stratégie de la part de Marion Maréchal-Le Pen, selon Maxence Lambrecq, journaliste au service politique de RTL. La nièce de Marine Le Pen se permet de dire ce qu'elle pense et de l'assumer, n'ayant pas pour charge de rassembler les électeurs derrière une candidature présidentielle, contrairement à sa tante. La jeune députée du Vaucluse assume ses propos, les argumente en listant les mesures que le Front national ferait pour empêcher le terrorisme.
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