Donald Trump s’est déplacé en Irak lors d’une visite
surprise mercredi 26 décembre. Il s’agissait de son premier déplacement dans
une zone de guerre où sont stationnés des soldats américains. Le président américain a justifié le
retrait des troupes de Syrie en affirmant que les États-Unis ne pouvaient plus
"être le gendarme du monde".
C’est l’habillage d’un motif avant tout électoral et financier. En Irak, Donald Trump a parlé principalement de fardeau. Rien d’étonnant
là-dedans, il utilise les méthodes du business man qui ne connaît que la loi
de l’argent. Mais depuis quelques jours, il fait du Trump version XXL.
Le chef d'État américin est engagé à fond dans une guerre commerciale mondiale. Chez
lui aux États-Unis, il affronte le Sénat au sujet du mur avec le Mexique. Il
déstabilise Wall Street en laissant entendre qu’il pourrait virer le président
de la banque centrale américaine, perçu comme le garant de la stabilité
économique.
Sur le Proche-Orient, il désarçonne ses plus proches
conseillers qui venaient d’annoncer que la présence militaire américaine en
Syrie avait pour objectif d’en chasser les Iraniens. Le pire, sans doute, est qu’en livrant les Kurdes à la vengeance d’Erdogan, Trump montre que pour ses alliés, la
parole américaine ne vaut rien.
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