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Quatre mois de prison ferme pour avoir violemment fessé son beau-fils de 6 ans (photo d'illustration).
Crédit : LOIC VENANCE / AFP
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L'Assemblée nationale à voté dans la nuit du 29 au 30 novembre une proposition de loi de portée largement symbolique visant à interdire les "violences éducatives ordinaires", comme les fessées ou gifles.
Le texte, porté par le groupe MoDem, a été adopté en première lecture par 51 voix contre 1 et trois abstentions. Il vise à inscrire dans le Code civil, à l'article lu lors des mariages, selon une formule revue en séance pour être plus "concise", que "l'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques".
Soutenu par le gouvernement, le texte a eu l'appui, outre du MoDem, des élus REM, et des trois groupes de gauche. L'UDI-Agir, d'abord réticente, s'y est finalement ralliée, tandis que le groupe Libertés et Territoires s'est partagé entre votes pour et abstention.
LR s'est abstenu, Raphaël Schellenberger raillant un texte qui n'est "que symbole et communication". L'élue d'extrême-droite Emmanuelle Ménard a été seule à voter contre, dénonçant notamment une proposition venant "dépouiller les parents de leurs prérogatives".
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