Lors de son interview mercredi 20 décembre sur France 5, Emmanuel Macron est revenu sur l'organisation des Jeux olympiques de Paris, qui se dérouleront en 2024, et tout particulièrement sur la cérémonie d'ouverture, "qui, j'espère, rendra Français et Française très fiers, ce sera un moment de beauté, d'art, de célébration de sport et de nos valeurs, dont le théâtre sera en effet la Seine et la capitale", a-t-il affirmé.
Et de promettre : "On prépare pied à pied, on passe beaucoup de temps, avec beaucoup de professionnalisme, ce rendez-vous. Tout est fait pour que ce soit prêt en termes de sécurité, d'organisation."
Et de confier : "Comme on est professionnels, il y a évidemment des plans B, des plans C etc. C'est la différence entre s'organiser, prévoir et tout de suite peut-être dans le catastrophisme et en quelque sorte ne plus avoir aucune ambition et dire tout de suite, on rapatrie. Non, on s'organise".
Alors, pourquoi serait utilisé un possible plan B ? "Si on considère qu'il y a un niveau de risque, des déséquilibres, un niveau d'insécurité, de menaces potentielles, serait de nature à revoir le schéma initial", répond le président de la République.
"C'est ce qu'on fait à chaque fois ces événements, vous les organisez en conscience. Il faut tout prévoir. Si vous avez une montée des tensions internationales ou régionales, si vous avez une série d'attaques, malheureusement notre pays a eu à le vivre. On s'adaptera à tous les scénarios", a-t-il affirmé.
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