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"Nous censurerons, sauf si nous avons une réponse claire", prévient Olivier Faure (PS)

Près de trois semaines après la nomination de son gouvernement, François Bayrou a exposé sa vision aux députés, lors de son discours de politique générale. Le PS demande un "réponse claire" au sujet des retraites, sans quoi il menace de voter la censure.

Olivier Faure à la sortie d'une rencontre avec le président Emmanuel Macron, le 31 août 2023 (illustration)

Crédit : Ludovic MARIN / AFP

Discours de politique générale : RTL répond à vos questions

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Marie-Pierre Haddad

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Les enjeux
  • Le Premier ministre s'est livré à un jeu d'équilibriste, notamment sur la question d'une suspension de la réforme des retraites.


    Il a annoncé qu'il allait actionner un "chantier" sur les retraites, "sans aucun totem et sans aucun tabou".
  • Le Parti socialiste assure que "le compte n'y est pas". La France insoumise a déposé une motion de censure, signée par les écologistes et les communistes. Le PS va-t-il aller jusqu'à la censure ?
  • Jean-Luc Mélenchon a indiqué auprès du "Parisien", que les socialistes qui ne votent par la censure de François Bayrou s'inscrivent "en dehors de l'accord NFP".
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"Nous censurerons, sauf si nous avons une réponse claire", lance Faure

Alerte

Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a rappelé au 20 Heures de TF1 son positionnement après le discours de politique générale de François Bayrou. "Je suis dans l'opposition, j'y reste".

"J'ai accepté avec ma famille politique de négocier, d'arriver à un résultat où nous pouvons aboutir à un compromis, ce qui suppose des concessions réciproques", explique-t-il. "Ce que je demande au Premier ministre, c'est qu'il soit clair et qu'il dise, qu'il y ait accord ou pas accord, que le Parlement sera saisi de la question des retraites sur la base des propositions qui ont été faites".

Pour l'instant, il y a beaucoup de flou", déplore-t-il, "à ce stade, nous censurerons sauf si nous avons une réponse claire".

"En l'état, il n'y pas d'accord avec le gouvernement", déplore un député PS

Des concessions avaient été demandées par le PS et accordées par les ministres concernés, selon le député, mais "François Bayrou n'a même pas pris la peine de reprendre dans son discours de politique générale les différentes concessions qui nous ont été accordées", regrette le député socialiste Philippe Brun.

"En l'état, il n'y a pas d'accord avec le gouvernement, puisque le gouvernement, par la voix de son Premier ministre, n'a pas repris à son compte les propositions qui nous ont été faites par les ministres", souligne-t-il.

Une motion de censure déposée

La présidente du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot, a déposé mardi une motion de censure contre le gouvernement de François Bayrou, signée par 57 autres députés, issus de ses rangs mais aussi des groupes communiste et écologiste.

La motion, déposée peu après la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre, sera examinée jeudi. Le parti socialiste n'a toujours pas avancé s'il appelait à la signer ou non.

"Ceux qui ne votent pas la censure sortent de l'accord du NFP"

Jean-Luc Mélenchon a tapé du poing sur la table et menacé : "Tous ceux qui ne votent pas la censure sortent de l'accord du Nouveau front populaire", a-t-il prévenu à la presse. "On met des options sur leurs circonscriptions", a-t-il ajouté visant les députés du Parti socialiste.

Retraites : Le PS refuse de retourner à la "loi antérieure"

"Notre objectif demeure l'abrogation de la réforme des retraites à 64 ans". Le Parti socialiste est ouvert à de nouvelles discussions concernant la réforme des retraites, mais refusera tout retour à la "loi antérieure", a prévenu Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée.

Le budget de françois bayrou "sera encore pire que celui de Michel Barnier"

L’hôpital est en ruines, l’école en lambeaux, Mayotte est à terre. Ce département où la population, composée pour moitié d’enfants se retrouve à manquer de tout : d’eau, de nourriture, d’électricité, d’un toit sur la tête", a lancé Mathilde Panot à la tribune.

"Et vous pensez encore faire 50 milliards d’économies sur leur dos, un budget pire que celui de Michel Barnier : pire budget, même tarif ! La censure !"

Les écologistes voteront la censure jeudi

Le groupe écologiste et social votera jeudi la censure contre le gouvernement de François Bayrou, a assuré mardi sa cheffe de file, Cyrielle Chatelain, "atterrée" par un "discours indigent" et "flou" après la déclaration de politique générale du Premier ministre.

L'écologie, "une priorité" pour François Bayrou

"L’écologie n’est pas le problème. C’est la solution", a lancé le Premier ministre. "L’effort à mener sur ce sujet crucial, cette adaptation, la France l’a commencé mieux qu’aucun pays du monde. C’est pour moi une priorité, une ardente obligation qui doit être poursuivie et amplifiée".

Le retour du "comité interministériel de contrôle de l’immigration"

"Il est de notre devoir de conduire une politique de contrôle, de régulation et de renvoi dans leur pays de ceux dont la présence met en péril la cohésion de la Nation", a insisté François Bayrou.
"Comment faire alors que 93 % des OQTF ne sont pas exécutées ? Et que dire du comportement de certains pays qui devraient pourtant accueillir leurs propres ressortissants ? C’est pourquoi je réactiverai le comité interministériel de contrôle de l’immigration".

Pour un cumul des mandats

Le Premier ministre appelle à "reposer en même temps la question de l’exercice simultané d’une responsabilité locale et nationale", alors qu'il n'est plus possible d'exercer un mandat de maire et de député depuis 2014.

Bayrou favorable à la proportionnelle

"Le pluralisme suppose aussi que chacun trouve une place au sein de la représentation nationale, à proportion des votes qu’il a reçus", estime François Bayrou. "C’est la seule règle qui permette à chacun d’être lui-même, authentiquement, sans s’engoncer dans des alliances insincères. Je propose que nous avancions sur la réforme du mode de scrutin législatif"

Une "banque de la démocratie"

"Je souhaite aussi la création de la banque de la démocratie. Pour que le financement des partis politiques et des campagnes ne dépende plus de choix de banques privées mais d’organismes publics, placés sous le contrôle du Parlement", annonce le Premier ministre.

"En 1993, je me suis battu pour exclure les entreprises du financement des partis politiques ; quand je porte mes yeux vers les États-Unis et l’emprise qu’y exerce l’argent sur la formation des consciences, j’en suis fier".

un "fonds spécial entièrement dédié à la réforme de l'État"

François Bayrou annonce "la création d'un fonds spécial entièrement dédié à la réforme de l'État (…) de façon à pouvoir investir, par exemple, dans le déploiement de l'IA dans les services publics"

"si les partenaires sociaux ne s'accordaient pas..."

"Je souhaite que cet accord soit trouvé", assure François Bayrou concernant le "conclave" qu'il souhaite mettre en place. "Mais si les partenaires ne s’accordaient pas, c’est la réforme actuelle qui continuerait à s’appliquer".

Un "conclave" pour une nouvelle réforme des retraites

"Chacun des partenaires sociaux aura le droit de faire inscrire à l’ordre du jour de ces discussions et négociations les questions qui le préoccupent. Rien n’est fermé", a poursuit le Premier ministre toujours au sujet de la réforme des retraites.

"Une délégation permanente sera donc créée. Je la réunirai dès vendredi. Je proposerai aux représentants de chaque organisation de travailler autour de la même table, de s’installer dans les mêmes bureaux, ensemble, pendant trois mois à dater du rapport de la Cour des comptes. Si au cours de ce 'conclave' cette délégation trouve un accord d’équilibre et de meilleure justice, nous l’adopterons. Le Parlement en sera saisi lors du prochain projet de loi de financement de la sécurité sociale, ou si nécessaire par une loi".

Bayrou veut remettre la réforme des retraites "en chantier"

"La réforme des retraites est vitale pour notre pays et notre modèle social : bien des gouvernements successifs s’y sont engagés, depuis Michel Rocard, jusqu’aux efforts courageux du gouvernement d’Elisabeth Borne."

"Je note dans ce débat passionnel un progrès considérable : plus personne ne nie plus qu’il existe un lourd problème de financement de notre système de retraites", poursuit François Bayrou qui annonce "remettre ce sujet en chantier, avec les partenaires sociaux , pour un temps bref, et dans des conditions transparentes. Selon une méthode inédite et quelque peu radicale".

"La démarche s’appuiera sur un constat et des chiffres indiscutables. Je vais demander une mission flash à la Cour des comptes, de quelques semaines. Et ce résultat, je le communiquerai à tous les Français".

Les trois défis du pays, selon Bayrou

Le Premier ministre s'est imposé trois défis pour son arrivée à Matignon : "D’abord faire face à l’urgence : il faut se ressaisir et adopter sans tarder les deux budgets, de l’État et de la Sécurité sociale. Cette précarité budgétaire, nous la payons tous au prix fort, entreprises, investisseurs, familles, contribuables, emprunteurs".

"Deuxième défi : mettre en place les conditions de la stabilité, qui impose de se réconcilier, ce dont le pays a tant besoin, et que ses citoyens ne cessent de réclamer. Troisième grand défi, de plus long terme : notre pays doit refonder son action publique, ce qui exige que nous nous attaquions sans tarder à tous les problèmes devant nous, et non à certains à l’exclusion des autres".

"l'éducation nationale est à sa place"

"L’Éducation nationale est à sa place : la première ! Et elle est confiée à une personnalité, ancienne première ministre, exemple de méritocratie républicaine et de service de l’État, assistée de l’ancien président du CNES et spécialiste des universités", explique le Premier ministre.

un gouvernement qui "reflète au mieux l’union des grandes sensibilités du pays"

Dans un troisième temps, François Bayrou a justifié la composition de son équipe gouvernementale. "Elle reflète au mieux l’union des grandes sensibilités du pays, avec de l’expérience et de l’enracinement : avec de fortes personnalités".

"Je ne suis qu'un néophyte"... François Bayrou s'embrouille dans son discours

Après un quart d'heures de discours, le Premier ministre a semé l'hilarité à l'Assemblée en se perdant dans les pages de son discours. "Il y a eu un peu de mélange dans mes pages. Je suis un néophyte et donc je suis bien obligé d'apprendre ce métier", a-t-il rebondi.

"Un nouveau désordre mondial"

Après avoir fait le point sur la dette, François Bayrou enchaîne sur la "violence" de la situation géopolitique, évoquant la Russie, la Chine ou encore la Corée du Nord, "un nouveau désordre mondial".

"Tous les partis de gouvernement ont une responsabilité"

"Tous les partis de gouvernement, sans exception, ont une responsabilité dans la crise créée ces dernières années", dénonce-t-il après avoir listé les hausses de la dette française au cours des dernières décennies.

"Retrouver la stabilité"

"La situation de ce gouvernement présente un avantage considérable", débute le Premier ministre. "Sur ces bancs, pas un ne trouve notre situation enviable", poursuit-il. "Je crois que cette situation est un atout, quand tout parait aller mal on est contraints au courage".

"L'injonction que le pays nous assigne" est de "retrouver la stabilité", explique-t-il. "Les sujets d'inquiétude sont innombrables", poursuit-il avant d'insister sur le surendettement. "Depuis la guerre, la France n'a jamais été aussi endettée", rappelle François Bayrou.

François Bayrou commence son discours de politique générale

Alerte

vidéo - "ni suspension, ni abrogation : une victoire du bon sens", pour juvin

Ni suspension ni abrogation de la réforme des retraites : François Bayrou l'a assuré aux chefs du socle gouvernemental, réunis à Matignon. À un peu plus de trois heures de sa déclaration de politique générale, devant l'Assemblée, le Premier ministre semble donc avoir tranché. Il devrait proposer cet aux partenaires sociaux de rouvrir les discussions sur le sujet d'ici l'automne. Écoutez le sentiment de Philippe Juvin, député Les Républicains des Hauts-de-Seine.

vers une "renégociation" de la réforme des retraites

Alerte

Il n'y aura "ni suspension ni abrogation" de la réforme des retraites, mais une renégociation pendant trois mois environ, soit avant un nouveau changement de classe d'âge pour le départ à la retraite, a dit François Bayrou lors d'une réunion mercredi matin à Matignon, selon plusieurs participants.
"La date butoir pour obtenir un changement (de classe d'âge) c'était septembre, donc il faut que les partenaires sociaux aient terminé leurs travaux avant", soit "avant l'été" pour rendre "effectives" leurs conclusions, et dans ce cas "la suspension n'est plus nécessaire", a détaillé un des participants. Le Premier ministre a réuni mercredi matin à Matignon plusieurs représentants de groupes parlementaires soutenant son gouvernement.

marine le pen assistera au discours de politique générale de françois bayrou

Alerte

A deux jours de la messe en hommage à son père, Jean-Marie Le Pen, Marine Le Pen sera bien présente au discours de politique générale, prononcé par François Bayrou, à l'Assemblée.

pas de suspension de la réforme des retraites

Alerte

Réunis autour des chefs du socle gouvernemental ce mardi matin à Matignon, François Bayrou a écarté une "suspension" de la réforme des retraites, selon nos informations.

Vidéo - "suspension, piège à con", prévien manuel bompard (lfi)

Le député LFI Manuel Bompard affirme sur RTL se méfier de la suspension de la réforme des retraites, qui serait actuellement sur la table des négociations entre le PS et le Premier ministre. "Une suspension, c'est une illusion", estime-t-il sur RTL.

COMMENT LA Réforme commence a ête appliquée

Le PS estime après ses dernières réunions avec François Bayrou, que le compte n'y est pas, notamment sur les retraites. Mais il faut attendre là-dessus de savoir si François Bayrou annoncera au nom une suspension de la réforme.

Ce dont ne veut pas entendre parler la droite, mais aussi Édouard Philippe pour le camp macroniste, pour qui revenir en arrière serait une mauvaise idée. En attendant, les Français qui attendent la retraite ne savent pas sur quel pied danser, parce que la réforme borne a commencé à être appliquée progressivement.

bienvenue !

Bonjour et bienvenue dans ce live consacré à la déclaration de politique générale de François Bayrou.

"Nous censurerons, sauf si nous avons une réponse claire", lance Faure

Alerte

Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a rappelé au 20 Heures de TF1 son positionnement après le discours de politique générale de François Bayrou. "Je suis dans l'opposition, j'y reste".

"J'ai accepté avec ma famille politique de négocier, d'arriver à un résultat où nous pouvons aboutir à un compromis, ce qui suppose des concessions réciproques", explique-t-il. "Ce que je demande au Premier ministre, c'est qu'il soit clair et qu'il dise, qu'il y ait accord ou pas accord, que le Parlement sera saisi de la question des retraites sur la base des propositions qui ont été faites".

Pour l'instant, il y a beaucoup de flou", déplore-t-il, "à ce stade, nous censurerons sauf si nous avons une réponse claire".

Bayrou : "une taxe anti-optimisation pour les hauts patrimoines"

Le gouvernement travaille sur une "taxe anti-optimisation pour les hauts patrimoines" qui pourrait figurer dans le projet de budget 2025, a annoncé mardi François Bayrou dans sa réponse aux députés après sa déclaration de politique générale.

Bayrou : les dépenses de santé augmenteront de 3,3% en 2025

Les dépenses d'assurance maladie seront revues en hausse de 3,3% cette année, "sensiblement au-dessus" des 2,8% prévus par le gouvernement Barnier avant sa censure, a indiqué mardi le Premier ministre François Bayrou.

Posez vos questions à RTL

Retraite, pouvoir d'achat... Qu'est-ce qui va changer dans votre vie après le discours de politique générale de François Bayrou ?

Posez toutes vos questions au 3210, sur RTL.fr ou sur l'application RTL. La rédaction vous répondra pendant toute la journée du mercredi 15 janvier.

"En l'état, il n'y pas d'accord avec le gouvernement", déplore un député PS

Des concessions avaient été demandées par le PS et accordées par les ministres concernés, selon le député, mais "François Bayrou n'a même pas pris la peine de reprendre dans son discours de politique générale les différentes concessions qui nous ont été accordées", regrette le député socialiste Philippe Brun.

"En l'état, il n'y a pas d'accord avec le gouvernement, puisque le gouvernement, par la voix de son Premier ministre, n'a pas repris à son compte les propositions qui nous ont été faites par les ministres", souligne-t-il.

Une motion de censure déposée

La présidente du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot, a déposé mardi une motion de censure contre le gouvernement de François Bayrou, signée par 57 autres députés, issus de ses rangs mais aussi des groupes communiste et écologiste.

La motion, déposée peu après la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre, sera examinée jeudi. Le parti socialiste n'a toujours pas avancé s'il appelait à la signer ou non.

"Ceux qui ne votent pas la censure sortent de l'accord du NFP"

Jean-Luc Mélenchon a tapé du poing sur la table et menacé : "Tous ceux qui ne votent pas la censure sortent de l'accord du Nouveau front populaire", a-t-il prévenu à la presse. "On met des options sur leurs circonscriptions", a-t-il ajouté visant les députés du Parti socialiste.

Retraites : Le PS refuse de retourner à la "loi antérieure"

"Notre objectif demeure l'abrogation de la réforme des retraites à 64 ans". Le Parti socialiste est ouvert à de nouvelles discussions concernant la réforme des retraites, mais refusera tout retour à la "loi antérieure", a prévenu Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée.

Le budget de françois bayrou "sera encore pire que celui de Michel Barnier"

L’hôpital est en ruines, l’école en lambeaux, Mayotte est à terre. Ce département où la population, composée pour moitié d’enfants se retrouve à manquer de tout : d’eau, de nourriture, d’électricité, d’un toit sur la tête", a lancé Mathilde Panot à la tribune.

"Et vous pensez encore faire 50 milliards d’économies sur leur dos, un budget pire que celui de Michel Barnier : pire budget, même tarif ! La censure !"

Gabriel attal veut convaincre la gauche de ne pas voter la censure

"Si vous vous engagez à ne pas voter la censure, les Français pourront reprendre espoir", a lancé Gabriel Attal, qui espère que les socialistes ne se joindront pas aux insoumis et aux écologistes si une motion de censure était votée.

Gabriel attal veut convaincre la gauche de ne pas voter la censure

"Si vous vous engagez à ne pas voter la censure, les Français pourront reprendre espoir", a lancé Gabriel Attal, qui espère que les socialistes ne se joindront pas aux insoumis et aux écologistes si une motion de censure était votée.

Gabriel attal veut convaincre la gauche de ne pas voter la censure

"Si vous vous engagez à ne pas voter la censure, les Français pourront reprendre espoir", a lancé Gabriel Attal, qui espère que les socialistes ne se joindront pas aux insoumis et aux écologistes si une motion de censure était votée.

Les écologistes voteront la censure jeudi

Le groupe écologiste et social votera jeudi la censure contre le gouvernement de François Bayrou, a assuré mardi sa cheffe de file, Cyrielle Chatelain, "atterrée" par un "discours indigent" et "flou" après la déclaration de politique générale du Premier ministre.

"un discours d'enfumage" pour Mélenchon

"Bayrou : discours d'enfumage. La dette est le résultat de l'appauvrissement organisé de l'État. Le coût des versements de l'État à la sécurité sociale compense des suppressions de cotisations décidées par les gouvernements. La sécurité sociale appartient à ses cotisants", a dénoncé Jean-Luc Mélenchon sur X.

"Laissez les syndicats gérer !", a-t-il lancé.

Bardella dénonce "une allocution pour rien"

Le patron du Rassemblement national a réagi au discours de politique générale sur X. "Au terme d'un discours lénifiant, François Bayrou a démontré qu'il n'était pas l'homme de la rupture, mais celui de la continuité molle, du bavardage et de la concertation 'sans fin'".

"La vie des Français est la grande absente de cette allocution pour rien", a-t-il conclu.

un remboursement intégral des fauteuils roulants

François Bayrou a insisté sur "l’attention aux plus fragiles et aux plus vulnérables".

"Un comité interministériel du handicap sera organisé dans les meilleurs délais", a-t-il ajouté avant d'annoncer le "remboursement intégral des fauteuils roulants dès 2025".

L'écologie, "une priorité" pour François Bayrou

"L’écologie n’est pas le problème. C’est la solution", a lancé le Premier ministre. "L’effort à mener sur ce sujet crucial, cette adaptation, la France l’a commencé mieux qu’aucun pays du monde. C’est pour moi une priorité, une ardente obligation qui doit être poursuivie et amplifiée".

Le retour du "comité interministériel de contrôle de l’immigration"

"Il est de notre devoir de conduire une politique de contrôle, de régulation et de renvoi dans leur pays de ceux dont la présence met en péril la cohésion de la Nation", a insisté François Bayrou.
"Comment faire alors que 93 % des OQTF ne sont pas exécutées ? Et que dire du comportement de certains pays qui devraient pourtant accueillir leurs propres ressortissants ? C’est pourquoi je réactiverai le comité interministériel de contrôle de l’immigration".

Pour un cumul des mandats

Le Premier ministre appelle à "reposer en même temps la question de l’exercice simultané d’une responsabilité locale et nationale", alors qu'il n'est plus possible d'exercer un mandat de maire et de député depuis 2014.

Bayrou favorable à la proportionnelle

"Le pluralisme suppose aussi que chacun trouve une place au sein de la représentation nationale, à proportion des votes qu’il a reçus", estime François Bayrou. "C’est la seule règle qui permette à chacun d’être lui-même, authentiquement, sans s’engoncer dans des alliances insincères. Je propose que nous avancions sur la réforme du mode de scrutin législatif"

Une "banque de la démocratie"

"Je souhaite aussi la création de la banque de la démocratie. Pour que le financement des partis politiques et des campagnes ne dépende plus de choix de banques privées mais d’organismes publics, placés sous le contrôle du Parlement", annonce le Premier ministre.

"En 1993, je me suis battu pour exclure les entreprises du financement des partis politiques ; quand je porte mes yeux vers les États-Unis et l’emprise qu’y exerce l’argent sur la formation des consciences, j’en suis fier".

un "fonds spécial entièrement dédié à la réforme de l'État"

François Bayrou annonce "la création d'un fonds spécial entièrement dédié à la réforme de l'État (…) de façon à pouvoir investir, par exemple, dans le déploiement de l'IA dans les services publics"

"si les partenaires sociaux ne s'accordaient pas..."

"Je souhaite que cet accord soit trouvé", assure François Bayrou concernant le "conclave" qu'il souhaite mettre en place. "Mais si les partenaires ne s’accordaient pas, c’est la réforme actuelle qui continuerait à s’appliquer".

Un "conclave" pour une nouvelle réforme des retraites

"Chacun des partenaires sociaux aura le droit de faire inscrire à l’ordre du jour de ces discussions et négociations les questions qui le préoccupent. Rien n’est fermé", a poursuit le Premier ministre toujours au sujet de la réforme des retraites.

"Une délégation permanente sera donc créée. Je la réunirai dès vendredi. Je proposerai aux représentants de chaque organisation de travailler autour de la même table, de s’installer dans les mêmes bureaux, ensemble, pendant trois mois à dater du rapport de la Cour des comptes. Si au cours de ce 'conclave' cette délégation trouve un accord d’équilibre et de meilleure justice, nous l’adopterons. Le Parlement en sera saisi lors du prochain projet de loi de financement de la sécurité sociale, ou si nécessaire par une loi".

Bayrou veut remettre la réforme des retraites "en chantier"

"La réforme des retraites est vitale pour notre pays et notre modèle social : bien des gouvernements successifs s’y sont engagés, depuis Michel Rocard, jusqu’aux efforts courageux du gouvernement d’Elisabeth Borne."

"Je note dans ce débat passionnel un progrès considérable : plus personne ne nie plus qu’il existe un lourd problème de financement de notre système de retraites", poursuit François Bayrou qui annonce "remettre ce sujet en chantier, avec les partenaires sociaux , pour un temps bref, et dans des conditions transparentes. Selon une méthode inédite et quelque peu radicale".

"La démarche s’appuiera sur un constat et des chiffres indiscutables. Je vais demander une mission flash à la Cour des comptes, de quelques semaines. Et ce résultat, je le communiquerai à tous les Français".

Les trois défis du pays, selon Bayrou

Le Premier ministre s'est imposé trois défis pour son arrivée à Matignon : "D’abord faire face à l’urgence : il faut se ressaisir et adopter sans tarder les deux budgets, de l’État et de la Sécurité sociale. Cette précarité budgétaire, nous la payons tous au prix fort, entreprises, investisseurs, familles, contribuables, emprunteurs".

"Deuxième défi : mettre en place les conditions de la stabilité, qui impose de se réconcilier, ce dont le pays a tant besoin, et que ses citoyens ne cessent de réclamer. Troisième grand défi, de plus long terme : notre pays doit refonder son action publique, ce qui exige que nous nous attaquions sans tarder à tous les problèmes devant nous, et non à certains à l’exclusion des autres".

"l'éducation nationale est à sa place"

"L’Éducation nationale est à sa place : la première ! Et elle est confiée à une personnalité, ancienne première ministre, exemple de méritocratie républicaine et de service de l’État, assistée de l’ancien président du CNES et spécialiste des universités", explique le Premier ministre.

un gouvernement qui "reflète au mieux l’union des grandes sensibilités du pays"

Dans un troisième temps, François Bayrou a justifié la composition de son équipe gouvernementale. "Elle reflète au mieux l’union des grandes sensibilités du pays, avec de l’expérience et de l’enracinement : avec de fortes personnalités".

"Je ne suis qu'un néophyte"... François Bayrou s'embrouille dans son discours

Après un quart d'heures de discours, le Premier ministre a semé l'hilarité à l'Assemblée en se perdant dans les pages de son discours. "Il y a eu un peu de mélange dans mes pages. Je suis un néophyte et donc je suis bien obligé d'apprendre ce métier", a-t-il rebondi.

"Un nouveau désordre mondial"

Après avoir fait le point sur la dette, François Bayrou enchaîne sur la "violence" de la situation géopolitique, évoquant la Russie, la Chine ou encore la Corée du Nord, "un nouveau désordre mondial".

"Tous les partis de gouvernement ont une responsabilité"

"Tous les partis de gouvernement, sans exception, ont une responsabilité dans la crise créée ces dernières années", dénonce-t-il après avoir listé les hausses de la dette française au cours des dernières décennies.

"Retrouver la stabilité"

"La situation de ce gouvernement présente un avantage considérable", débute le Premier ministre. "Sur ces bancs, pas un ne trouve notre situation enviable", poursuit-il. "Je crois que cette situation est un atout, quand tout parait aller mal on est contraints au courage".

"L'injonction que le pays nous assigne" est de "retrouver la stabilité", explique-t-il. "Les sujets d'inquiétude sont innombrables", poursuit-il avant d'insister sur le surendettement. "Depuis la guerre, la France n'a jamais été aussi endettée", rappelle François Bayrou.

François Bayrou commence son discours de politique générale

Alerte

Yaël Braun-Pivet VEUT ACCélerer sur le texte sur la fin de vie

La présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a demandé mardi au gouvernement que le texte sur la fin de vie soit examiné à partir du 3 février, comme s'y était engagé le précédent gouvernement.

"Sur la fin de vie, nous avons déjà perdu six mois alors que ce texte important aurait dû être voté le 18 juin dernier", a-t-elle souligné à l'occasion de ses vœux aux parlementaires. Elle s'est exprimée en présence du Premier ministre François Bayrou, qui doit prononcer son discours de politique générale dans l'après-midi.

une motion de censure déposée par les insoumis

Quelles que soient les annonces de François Bayrou, les Insoumis déposeront une motion de censure qui sera examinée jeudi ou vendredi. La rupture semble donc consommée entre socialistes et Insoumis.

Si les communistes paraissent disposés à suivre le PS, la cheffe des Écologistes Marine Tondelier a en revanche répondu à l'AFP "ne pas comprendre l'euphorie des socialistes", et juge que "l'état actuel des discussions ne donne pas de raison d'envisager autre chose que la censure".

La motion de censure LFI n'a cependant aucune chance d'être adoptée puisque le RN a confirmé qu'il ne la voterait pas.

vidéo - "ni suspension, ni abrogation : une victoire du bon sens", pour juvin

Ni suspension ni abrogation de la réforme des retraites : François Bayrou l'a assuré aux chefs du socle gouvernemental, réunis à Matignon. À un peu plus de trois heures de sa déclaration de politique générale, devant l'Assemblée, le Premier ministre semble donc avoir tranché. Il devrait proposer cet aux partenaires sociaux de rouvrir les discussions sur le sujet d'ici l'automne. Écoutez le sentiment de Philippe Juvin, député Les Républicains des Hauts-de-Seine.

vers une "renégociation" de la réforme des retraites

Alerte

Il n'y aura "ni suspension ni abrogation" de la réforme des retraites, mais une renégociation pendant trois mois environ, soit avant un nouveau changement de classe d'âge pour le départ à la retraite, a dit François Bayrou lors d'une réunion mercredi matin à Matignon, selon plusieurs participants.
"La date butoir pour obtenir un changement (de classe d'âge) c'était septembre, donc il faut que les partenaires sociaux aient terminé leurs travaux avant", soit "avant l'été" pour rendre "effectives" leurs conclusions, et dans ce cas "la suspension n'est plus nécessaire", a détaillé un des participants. Le Premier ministre a réuni mercredi matin à Matignon plusieurs représentants de groupes parlementaires soutenant son gouvernement.

marine le pen assistera au discours de politique générale de françois bayrou

Alerte

A deux jours de la messe en hommage à son père, Jean-Marie Le Pen, Marine Le Pen sera bien présente au discours de politique générale, prononcé par François Bayrou, à l'Assemblée.

le budget de la sécurité sociale discuté à partir du 3 févrirer

L'Assemblée nationale reprendra le 3 février l'examen du projet de budget 2025 de la Sécurité sociale (PLFSS), texte sur lequel le gouvernement Barnier était tombé début décembre, a-t-on appris mardi de source parlementaire. Cette date a été actée mardi matin en conférence des présidents, en présence du Premier ministre François Bayrou.

Le PLFSS sera à l'ordre du jour toute la semaine du 3 au 7 février, à l'exception du jeudi 6, réservé aux textes présentés par le groupe Les Républicains (LR). Habituellement, une semaine suffit aux députés pour boucler l'examen d'un PLFSS en nouvelle lecture.

pas de suspension de la réforme des retraites

Alerte

Réunis autour des chefs du socle gouvernemental ce mardi matin à Matignon, François Bayrou a écarté une "suspension" de la réforme des retraites, selon nos informations.

ce que pense le socle commun des discussions entre PS et gouvernement

Si, à la différence de son prédécesseur Michel Barnier, François Bayrou mise sur la gauche pour rester au pouvoir, il ne devra pas non plus braquer ses alliés à droite. Cette suspension de la réforme des retraites divise en effet le camp présidentiel tandis que LR menace de quitter le gouvernement.
Chez Renaissance, certains semblent prêts à l'accepter, comme prix de la stabilité politique, à l'instar de Yaël Braun-Pivet qui a affirmé "ne pas être opposée par principe" au fait d'"arrêter" brièvement la réforme des retraites pour en "rediscuter". Mais d'autres, comme le député Mathieu Lefèvre, s'y opposent, faisant valoir son coût, estimé autour de 3 milliards d'euros pour la seule année 2024.
À droite, le patron des députés LR Laurent Wauquiez refuse de "sauter dans le vide". "Si demain, on atteignait le cœur du réacteur en termes de rendement budgétaire de cette réforme, alors on mettrait la France, pour le plaisir de la gauche, en danger, notamment budgétaire et financier", a prévenu le ministre LR de l'Intérieur Bruno Retailleau.

FAURE SE REVendique d'une opposition "utile au pays"

François Bayrou doit prononcer à 15h00 devant l'Assemblée nationale sa déclaration de politique générale. Un accord entre le gouvernement et le PS signifierait que ce dernier ne voterait pas une motion de censure contre le gouvernement.

"Si le Premier ministre l'accepte définitivement, c'est à lui de l'annoncer", a déclaré Olivier Faure à propos de cette ultime phase de négociation, se disant "serein". "Nous sommes en train d'obtenir un certain nombre de concessions que je trouve remarquables parce qu'elles permettent de rompre avec ce que nous avons censuré nous-mêmes, les uns et les autres, c'est-à-dire le budget Barnier", a assuré Olivier Faure.

Face aux critiques des Insoumis, il a rappelé que le PS était "dans l'opposition, nous y restons, mais nous sommes une opposition utile, utile au pays". "Il y a une gauche qui braille et une gauche qui travaille", a-t-il balayé.

À propos de la réforme des retraites, il a souhaité l'ouverture d'une discussion pour revoir l'âge de départ fixé à 64 ans par la loi de 2023.

Un accord là-dessus vaudrait non-censure du gouvernement Bayrou, a précisé Olivier Faure sauf "si, à un moment, il revenait dans l'idée de ce gouvernement de lier son avenir à celui de l'extrême droite". "Alors, la sanction serait immédiate", a-t-il prévenu.

les agriculteurs maintiennent la pression sur françois bayrou

Les principaux syndicats agricoles, reçus tour à tour lundi à Matignon, maintiennent la pression sur le gouvernement Bayrou pour obtenir la concrétisation des promesses arrachées en 2024 après leur mobilisation, espérant aussi galvaniser leur campagne pour les chambres d'agriculture.

L'alliance majoritaire FNSEA-Jeunes agriculteurs a donné rendez-vous pour un "point d'étape" au Salon de l'agriculture, organisé à partir du 22 février, afin de mesurer les avancées obtenues, qu'il s'agisse du budget ou des suites du projet de loi d'orientation agricole examiné au Sénat à partir du 4 février.

La Coordination rurale (CR), coutumière des actions coup de poing, a pour sa part limité le délai accordé au gouvernement à mardi, en fonction du contenu du discours de politique générale de François Bayrou.

le ps et bayrou proches d'un accord, selon faure

Alerte

Le parti socialiste a fait une proposition de compromis dans la nuit au Premier ministre François Bayrou et estime "un accord possible" dans "quelques heures" sur la question du budget et notamment la réforme des retraites, a expliqué mardi son premier secrétaire Olivier Faure.

"Je pense que nous pouvons conclure", a estimé le député socialiste sur RMC-BFMTV, à propos de cette "proposition" qu'il se refuse à "dévoiler", faite "au téléphone" après une réunion non conclusive dans la soirée de lundi à Matignon. François Bayrou doit prononcer à 15H00 devant l'Assemblée nationale sa déclaration de politique générale.

Vidéo - "suspension, piège à con", prévien manuel bompard (lfi)

Le député LFI Manuel Bompard affirme sur RTL se méfier de la suspension de la réforme des retraites, qui serait actuellement sur la table des négociations entre le PS et le Premier ministre. "Une suspension, c'est une illusion", estime-t-il sur RTL.

VIDEO - FRAN9OIS BAYROU JOUE Déjà son avenir politique

Marcelo Wesfreid, chef adjoint au service politique du "Parisien/Aujourd'hui en France", Astrid de Villaines, journaliste politique à Radio France et Philippe Moreau-Chevrolet, expert en communication politique à Sciences Po, analysent cette journée cruciale pour le Premier ministre.

COMMENT LA Réforme commence a ête appliquée

Le PS estime après ses dernières réunions avec François Bayrou, que le compte n'y est pas, notamment sur les retraites. Mais il faut attendre là-dessus de savoir si François Bayrou annoncera au nom une suspension de la réforme.

Ce dont ne veut pas entendre parler la droite, mais aussi Édouard Philippe pour le camp macroniste, pour qui revenir en arrière serait une mauvaise idée. En attendant, les Français qui attendent la retraite ne savent pas sur quel pied danser, parce que la réforme borne a commencé à être appliquée progressivement.

"pas d'avancées" dans les négociations avec le ps

l n'y a pas eu "d'avancée significative" dans les tractations pour un accord de non-censure entre François Bayrou et le Parti socialiste qui n'a eu "aucune garantie concernant la suspension de la réforme des retraites", a déclaré lundi soir sur BFMTV le secrétaire général du PS Pierre Jouvet.

"Au moment où je vous parle, les propositions qui sont sur la table ne sont pas acceptables pour le Parti socialiste et nous le regrettons", a ajouté Pierre Jouvet.

L'exécutif cherche désormais à éviter que le parti à la rose ne vote la motion de censure qui sera très probablement déposée mardi, dans la foulée du discours du Premier ministre, par la France insoumise.

le jour j pour françois bayrou

François Bayrou abat ses cartes ce mardi, dans sa déclaration de politique générale, sur le budget en même temps que sur les retraites, qui ont fait l'objet d'intenses négociations avec la gauche, pour l'heure sans succès, afin de tenter d'éviter une censure.

Suspension, gel ou pause ? Le vocabulaire du Premier ministre par ailleurs agrégé de lettres sera scruté de près quand il prononcera à 15h00 devant l'Assemblée nationale le traditionnel discours du nouvel arrivant à Matignon.

Ironie du sort, c'est Elisabeth Borne, ex-Première ministre et auteure de cette réforme contestée des retraites, qui lira en parallèle devant le Sénat le même texte, où pourraient figurer des concessions à sa propre loi, adoptée à l'époque au forceps en utilisant l'article 49.3.

bienvenue !

Bonjour et bienvenue dans ce live consacré à la déclaration de politique générale de François Bayrou.

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