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Sébastien Lecornu parti pour rester ? Les tractations pour trouver un Premier ministre "d'ici 48 heures" se poursuivent

Emmanuel Macron est désormais chargé de nommer un nouveau Premier ministre capable de mener à bien le vote du budget 2026. L'annonce doit être faite d'ici vendredi soir.

Sébastien Lecornu, devant Matignon le 6 octobre 2025.

Crédit : Stephane Mahe / POOL / AFP

La rédaction numérique de RTL

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Les 4 infos à retenir
  • Qui pour succéder à Sébastien Lecornu ? Des rumeurs évoquent une reconduction du Premier ministre. À gauche, le nom d'Olivier Faure fait toujours écho.
  • Malgré un gouvernement démissionnaire, un projet de budget sera présenté lundi en Conseil des ministres. "Il ne sera pas parfait", a prévenu Sébastien Lecornu.
  • Dans une déclaration commune, Marine Tondelier, Olivier Faure et Fabien Roussel demandent au chef de l'État de choisir une cohabitation avec un Premier ministre de gauche. 
  • Chez LR, Bruno Retailleau a assuré devant les parlementaires qu'il refuserait de faire partie d'un gouvernement avec un Premier ministre de gauche ou macroniste. 
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C'est la fin de ce live !

Qui sera le prochain Premier ministre ? Le nom du nouveau locataire de Matignon sera annoncé d'ici vendredi soir. RTL continuera d'être à vos côtés pour vous donner les dernières informations. À demain !

Olivier Faure, Marine Tondelier et Fabien Roussel plaident pour une cohabitation

"Monsieur le président, entendez le pays", exhortent la patronne des Ecologiste Marine Tondelier, le premier secrétaire du PS Olivier Faure et le secrétaire national des communistes Fabien Roussel dans une déclaration commune à l'AFP, demandant au chef de l'État de choisir une cohabitation avec un Premier ministre de gauche.

Les trois chefs de partis insistent pour obtenir du président qu'il respecte le résultat des élections législatives de juillet 2024, qui ont placé en tête (mais sans majorité) le Nouveau Front populaire. Pour eux, "persister dans l’obstruction serait fragiliser encore davantage notre démocratie".

les élus locaux assurent "tenir la baraque"

Paris vacille mais les élus locaux, eux, "tiennent la baraque": c'est en substance le message adressé en pleine crise gouvernementale par quelque 2.000 édiles réunis à Toulouse, à l'occasion de la 35e convention d'Intercommunalités de France.


"Il y en a marre, la société française est comme quelqu'un qui a la maladie des os de verre. À chaque chute, ça fait plus mal", tance Sébastien Martin, président d'Intercommunalités de France et député LR de Saône-et-Loire.

"J'ai reçu pour la première fois des messages d'élus de Grande-Bretagne, de Belgique, d'Allemagne, me demandant ce qui se passait en France", raconte l'élue MoDem, pour qui les postures partisanes "mettent en péril nos institutions". Face à la crise, cette élue normande appelle à "entrer en résistance" pour montrer que la stabilité politique "vient des territoires".

Sophie Binet appelle à poursuivre les mouvements sociaux

La secrétaire générale de la CGT Sophie Binet a appelé jeudi ses troupes à poursuivre les mouvements sociaux lancés en septembre contre les nouvelles mesures d'économies budgétaires annoncées par l'exécutif.


"Le président de la République est prêt à tout pour maintenir sa politique, il est prêt au chaos institutionnel, à la dissolution pour ne pas changer de politique", a déclaré Mme Binet devant 1.000 à 2.000 manifestants devant le ministère de la Santé à Paris, réunis à l'appel de la CGT Santé Sociaux.

"Alors le programme des prochaines semaines est clair: il faut continuer dans la dynamique que nous avons enclenchée le 10 septembre, le 18 septembre le 2 octobre et maintenant aujourd'hui", a-t-elle dit.

la France assure qu'elle respectera ses engagements européens sur le budget

La France disposera bien d'un budget en 2026, qui sera "bon" pour les déficits et la croissance, et elle respectera ses engagements européens, a assuré son ministre de l'Economie démissionnaire, Roland Lescure, avant une réunion avec ses homologues de la zone euro.


"Il y a une majorité de parlementaires en France qui veulent la stabilité (...) et qui s'accordent sur une chose, c'est que nous avons besoin d'un budget pour 2026, et, c'est très important, d'un budget qui respecte les engagements que nous avons pris envers nos amis Européens, donc c'est ce qu'il va se passer", a déclaré le ministre à la presse, avant une réunion de l'Eurogroupe à Luxembourg.

Jordan Bardella s'exprimera à 21h

Le président du Rassemblement national Jordan Bardella, sera l'invité de Cnews à 21 heures, ce jeudi 9 octobre, a annoncé la chaîne. 

La France aura un budget en 2026, promet Roland Lescure

La France aura un budget en 2026 et respectera ses engagements européens, a assuré le ministre démissionnaire de l'Économie, Roland Lescure. 

"Il y a une majorité de parlementaires en France qui veulent la stabilité (...) et qui s'accordent sur une chose, c'est que nous avons besoin d'un budget pour 2026, et, c'est très important", a-t-il indiqué 

"La réforme de 2023 c'est aussi des avancéeS", rappelle Frédéric Valletoux

Le député Horizon, Frédéric Valletoux assure être "prêt" à discuter autour de la réforme des retraites de 2023 mais craint un "détricotage". "La réforme de 2023, c'est aussi des avancées pour les retraites les plus faibles. C'est aussi la prise en compte des carrières longues et des carrières hachées, donc il y a aussi beaucoup de bénéfices et d'avancées sociales", affirme-t-il sur franceinfo.  

Selon Retailleau, “La réforme d’Elisabeth Borne était à peine suffisante”

Plusieurs députés LR se sont dit ouverts à une suspension de la réforme pour permettre aux négociations avec la gauche d'avancer, mais pour le chef des Républicains, Bruno Retailleau, un retour en arrière n'est pas envisageable. 

“La réforme d’Elisabeth Borne était à peine suffisante”, a indiqué le ministre démissionnaire de l'Intérieur, lors du sommet POLITICO sur la compétitivité. “On gèle dans un premier temps, et bonjour pour celui qui voudra dégeler dans un second temps : ce sera une abrogation”, prévient-il. 

"Il faut déprésidentialiser la fonction de Premier ministre"; assure Retailleau

Lors du sommet POLITICO sur la compétitivité, Bruno Retailleau a réaffirmé sa volonté de voir une cohabitation LR, à condition que la distinction soit bien faite entre le pouvoir du Premier ministre et celui du président de la République. 

"Il faut déprésidentialiser la fonction de Premier ministre. Le président de la République doit présider, le Premier ministre, lui, gouverne", affirme-t-il. 

Emmanuel Macron concentré sur l'Hommage à Badinter

Après la prise de parole de Sébastien Lecornu, mercredi soir, au 20 Heure de France 2, les regards se tournent vers le président de la République qui devrait désigner un nouveau chef du gouvernement d'ici demain soir. 

La nomination ne devrait pas survenir aujourd'hui. L'agenda d'Emmanuel Macron est chargé en ce jeudi 9 octobre. Il doit prendre la parole vers 17 heures au cours d’une réunion sur le plan de paix au Moyen-Orient, organisée au Ministère des Affaires étrangères, avant de se rendre à la panthéonisation de Robert Badinter, dont la cérémonie doit débuter aux alentours de 19h. 


Sébastien Lecornu, Jean-Louis Borloo ou Laurent Berger... quelles sont les pistes ?

Emmanuel Macron a la lourde tâche de désigner un nouveau Premier ministre, un profil le plus neutre possible pour ne pas irriter ni la gauche ni Les Républicains. 

Sébastien Lecornu, Jean-Louis Borloo ou Laurent Berger... plusieurs noms circulent ⬇️

Suspension de la réforme des retraites : "une première étape", salue sophie Binet

La secrétaire générale de la CGT Sophie Binet a exprimé sur LCI une opinion favorable quant à une éventuelle suspension de la réforme des retraites, saluant "une première étape vers l'abrogation". 

"Il n'y aura pas de sortie de crise sans abrogation de la réforme des retraites (…) nous sommes en position de force", a-t-elle ajouté.

Jean-Louis Borloo assure n'avoir "aucun" contact avec l'Élysée

Jean-Louis Borloo, dont le nom circule pour Matignon, a démenti à l'AFP tout contact avec l'Élysée. L'Ancien ministre sous Jacques Chirac puis Nicolas Sarkozy, ignore tout de cette rumeur et n'a pas été sollicité. 

7 millions de téléspectateurs ont suivi l'interview de Lecornu

Très attendue en raison de la crise politique actuelle, l'interview de Sébastien Lecornu au JT de 20 Heure sur France 2 a réuni environ 6,8 millions de téléspectateurs, avec un pic à sept millions. 

Cela représente une part d'audience (PDA) de 32,4%, selon les chiffres de Médiamétrie publiés jeudi, signifiant qu'environ un tiers des personnes devant leur télévision à ce moment-là étaient branchées sur France 2.

Quel est le portrait-robot du prochain Premier ministre ?

Le prochain Premier ministre devra être le plus neutre possible, une personnalité qui n'irritera pas la gauche et qui ne soit pas un repoussoir pour Les Républicains. Selon les propres propos de Sébastien Lecornu, il faudra que le prochain locataire de Matignon soit "complètement déconnecté des ambitions présidentielles".


Une configuration qui écarte notamment Bruno Retailleau qui a assuré de son côté qu'il refuserait de faire partie d'un gouvernement avec un Premier ministre de gauche ou macroniste. 

UN gouvernement lecornu bis ? "une très mauvaise idée", selon Philippe Brun

Le député du Parti socialiste, Philippe Brun a indiqué qu'il n'était pas favorable à ce que Sébastien Lecornu reste à Matignon. "Je pense que c'est une très mauvaise idée de nommer à nouveau Sébastien Lecornu, parce qu'il a présenté sa démission et il n'incarne pas le portrait-robot qu'il a fait, lui-même, hier", a-t-il déclaré sur RMC.

Xavier IACOVELLI dit regretter la démission de Sébastien Lecornu

Le vice-président du Sénat a déclaré, ce jeudi sur Public Sénat, regretter le départ de Sébastien Lecornu. "Je regrette sa démission et que nous nous privions de l’avoir comme Premier ministre. Car si d’ici demain nous avons un accord, ce sera grâce à lui, aux compromis trouvés et à sa capacité à parler à tous", estime-t-il. 

Patrick Kanner assure que son avis sur Jean-Louis Borloo était "une boutade"

Questionné sur ses déclarations de ce matin, Patrick Kanner rétropédale. "C’était une pure boutade, qui a été mal interprétée. Il porterait, au mieux un politique de centre-droite, donc non", explique-t-il sur LCI. 

"Pour mettre en œuvre ces nouvelles politiques qui tournent le dos à huit ans de macronie, il vaut mieux que soit un homme ou une femme de gauche", précise le chef des sénateurs PS. 

Pourquoi ce délai de 48 heures pour trouver le prochain premier ministre ?

Sur RTL, l'essayiste Laetitia Strauch-Bonart estime qu'il y a "deux interprétations possibles". "Soit c'est Lecornu lui-même qui a insisté pour ces 48 heures et donc c'est Emmanuel Macron, qui est sous pression. Ou bien Emmanuel Macron a déjà trouvé quelqu'un et il va sortir le Premier ministre de son chapeau et les 48 heures c'est juste une sorte de décoration pour que les gens soient tenus en haleine", déclare-t-elle. 

"on a besoin d'une dissolution", estime sur RTL Laetitia Strauch-Bonart

L'essayiste et journaliste, auteure de La gratitude, estime que le pays "a besoin d'une dissolution". "Les signaux sont assez clairs venant de l'opinion (...) Il y a un refus, je trouve, de la part des dirigeants, des responsables politiques, d'accepter cette obligation", regrette-t-elle. 

"Je constate que quelques rats quittent le navire", lance dupond-Moretti

Sur le plateau de BFMTV, ce jeudi 9 octobre, Éric Dupond-Moretti a lancé un tacle Édouard Philippe et Gabriel Attal qui tentent de s'affranchir du président de la République. "Je constate que quelques rats quittent le navire", a lancé l'ancien ministre de la Justice. "C’est le lot de tout président de la République qui ne peut pas se représenter et qui est en fin de règne", a-t-il poursuivi. 

Sébastien Lecornu a fait preuve "d'humilité", estime étienne gernelle

Selon Étienne Gernelle, "Sébastien Lecornu a montré hier une qualité assez peu répandue en politique : l'humilité. Tête basse, ton posé, pas d'esbrouf, pas d'autosatisfaction". "Il n'a pas essayé de vendre un élixir miracle", juge le directeur du Point sur RTL. 

⬇️ Écouter son édito sur RTL

Marylise Léon (CFDT) souhaite relancer le débat sur la retraite par points

Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, a proposé jeudi de rouvrir le débat sur la retraite par points si la réforme actuelle venait à être suspendue, estimant que cette démarche "en vaut la peine" d'un point de vue démocratique.

"Je considère qu'un système de retraite construit autour d'un âge légal, c'est profondément injuste" a-t-elle indiqué sur BFM Business, en soulignant qu'"en 2027, dans le débat sur la présidentielle, la CFDT veut un retour du débat autour de la question de la retraite à la carte".

Borloo à Matignon ? "chiche", lance Patrick Kanner

Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Sénat, a réagi avec enthousiasme à l'idée de nommer Jean-Louis Borloo à Matignon, qualifiant cette éventualité de "sacré pari" pour Emmanuel Macron. "Ce serait un sacré pari (...) mais j'aurais plutôt envie de dire chiche !", a affirmé Patrick Kanner sur franceinfo qui qualifie Jean-Louis Borloo comme "quelqu'un capable de renverser la table", grâce à sa connaissance approfondie des rouages politiques et sa capacité à gouverner.

Borne favorable à un gel de l'âge de départ à la retraite "jusqu'en 2027"

Sur BFMTV-RMC, Élisabeth Borne se dit favorable à un gel de l'âge de départ à la retraite "jusqu'en 2027", pour laisser le débat ouvert lors de l'élection présidentielle. Selon elle, l'enjeu demeure de "sortir de la crise et de trouver un chemin pour arriver à dialoguer", a-t-elle indiqué. 

La ministre démissionnaire de l'Éducation Elisabeth Borne a notamment appelé à "trouver des compromis de la droite républicaine au Parti socialiste".

Agnès Pannier-Runacher propose "d'essayer la gauche"

"Je fais un constat: on a essayé la droite, on a essayé le centre, alors pourquoi ne pas essayer la gauche? ", a déclaré la ministre de la Transition écologique du gouvernement démissionnaire, Agnès Pannier-Runacher, sur Ici Nord. 

"Si on veut effectivement donner de la stabilité au pays, il faut qu'on puisse s'accorder sur les quelques points, et il y en a beaucoup en réalité, qui nous permettent avec la gauche d'avancer", a-t-elle assuré.

Retailleau ne participera pas à un gouvernement avec un Premier ministre de gauche ou macroniste

Alerte

Bruno Retailleau a indiqué aux parlementaires de son parti, ce jeudi, qu'il ne participera pas à un gouvernement avec un Premier ministre de gauche ou macroniste. 

La suspension de la réforme serait "Absolument dramatique", déclare Maud Bregeon

Selon la députée macroniste, Maud Bregeon, la suspension de la réforme des retraites "serait absolument dramatique pour les générations futurs et pour notre système de retraite par répartition". "Moi je pose une question à mes collègues de gauche. Qui paye en cas de suspension ?". 

Selon la Cour des Comptes, l'abrogation aurait un "coût complet de 13 milliards d’euros sur les finances publiques pour l’exercice 2035". 

Les LR prêts à "participer" à un nouveau gouvernement selon Philippe Juvin

Le député LR, Philippe Juvin a exprimé son opposition à la nomination d'un Premier ministre de gauche pour succéder à Sébastien Lecornu. "Il y a un bloc central qui existe encore. Nous sommes prêts à travailler à condition qu'un certain nombre de conditions soient remplies, en particulier en matière de projection budgétaire", assure-t-il sur Public Sénat. 

Il assure que son parti est prêt à "participer" à un nouveau gouvernement. "Maintenant, il faut discuter du fond", ajoute-t-il.   

le medef "très réticent" à la suspension de la réforme des retraites

"Nous sommes très réticents" à une suspension de la réforme des retraites, a indiqué le patron du Medef, Patrick Martin. "Suspendre cette réforme aurait un impact négatif sur l'activité économique, sur les conditions d'emprunt, et finalement - soyons réalistes - sur le pouvoir d'achat", a-t-il déclaré sur France Inter, ce jeudi 9 septembre. 

Aurore Bergé sur RTL : "le projet du budget sera déposé en temps et en heure"

Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu a indiqué hier qu'un projet de budget pour 2026 pourrait être présenté lundi en Conseil des ministres, date limite pour son adoption par le Parlement avant le 31 décembre. Aurore Bergé a également assuré sur RTL que "le projet du budget sera déposé en temps et en heure". 

Aurore Bergé assure que "l'État est tenu"

Contrairement à Édouard Philippe, Aurore Bergé assure que "l'État est tenu". L'ancien Premier ministre d'Emmanuel Macron est favorable à la tenue d'une élection présidentielle anticipée. Une position que ne partage pas la ministre démissionnaire. "Je crois qu'on attaque pas l'institution présidentielle, on demande pas la démission du président de la République", estime-t-elle sur RTL. 

"On a une coalition gouvernementale qui peut exister", déclare aurore Bergé sur RTL

"On a une coalition gouvernementale qui peut exister", estime la ministre de l'Égalité entre les femmes et les hommes démissionnaire, invitée sur RTL. "La seule chose dont on a besoin aujourd'hui, c'est d'entrer dans le débat parlementaire", ajoute-t-elle tout en prévenant "si on loupe cette marche, je crains que ce soit vraiment la dernière chance"

Retailleau refuse de participer à un "gouvernement Lecornu bis"

Lors de son interview sur France 2, Sébastien Lecornu a évoqué l'idée d'une équipe gouvernementale "complètement déconnectée des ambitions présidentielles pour 2027". Désignant sans le nommer, le patron de la droite Bruno Retailleau. 

Ce dernier a assuré hier soir qu'il n’irait "pas dans un gouvernement qui voudrait abroger ou suspendre la réforme des retraites ou même dans un gouvernement Lecornu bis". 

Un projet de budget présenté lundi

Sébastien Lecornu déclare qu'un projet de budget pour 2026 "dans lequel il y aura beaucoup à débattre" pourra être présenté lundi en Conseil des ministres, date-butoir pour son adoption avant le 31 décembre par le Parlement.

La réforme des retraites au coeur des négociations

Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu a jugé mercredi soir, à l'issue de ses négociations avec les forces politiques, qu'il faudrait "trouver un trouver un chemin pour que le débat ait lieu sur la réforme des retraites, (...) un des dossiers les plus bloquants, les plus difficiles".

Il a reconnu qu'il y avait "plusieurs problèmes à régler sur le dossier de la réforme des retraites". Selon lui, une suspension de cette réforme coûterait "pas moins de trois milliards d'euros" en 2027. 

Un premier ministre avant la fin de la semaine ?

Invité au 20 Heures de France 2 mercredi soir, Sébastien Lecornu a martelé que sa mission à la tête du gouvernement était "terminée". 

Emmanuel Macron doit désormais se charger de trouver un nouveau Premier ministre. "La situation permet" au président Emmanuel Macron "de nommer un Premier ministre dans les 48 prochaines heures", a estimé Lecornu.

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