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VIDÉO - Édouard Philippe se confie sur son changement d'apparence et son alopécie

Édouard Philippe s'est exprimé sans détours jeudi soir, depuis la mairie du Havre, sur la maladie auto-immune qui a notamment causé la perte de ses sourcils.

Édouard Philippe au Havre, le 12 juin 2022.
Édouard Philippe au Havre, le 12 juin 2022.
Crédit : SAMEER AL-DOUMY / AFP
Joanna Wadel & AFP

"Cela n'est ni douloureux, ni dangereux, ni contagieux, ni grave". C'est par ces mots qu'Édouard Philippe s'est expliqué, jeudi 2 février, sur l'alopécie, une maladie auto-immune dont il est atteint.

Dans un entretien accordé à BFMTV, l'ancien Premier ministre est revenu sans tabou sur les changements physiques qu'elle lui a causés ces derniers mois.  "J’ai perdu mes sourcils et je crois qu’ils ne reviendront plus. Ma barbe est devenue blanche et elle tombe un peu. Mes cheveux tombent aussi. La moustache est partie, je ne sais pas si elle reviendra, ça m’étonnerait. Je suis atteint de ce que l’on appelle l’alopécie", a développé le maire du Havre.

L'ex-chef du gouvernement a estimé nécessaire de s'étendre sur sa nouvelle apparence capillaire après que de nombreux Français se sont interrogés sur son état de santé : "J'aurais aimé (..) peut-être espéré que ça ne soit pas un sujet. Mais je suis bien obligé de constater qu'il y a beaucoup de gens de bonne foi qui me regardent, qui voient ça, qui se posent des questions", a-t-il reconnu.

"Ça ne m'empêche pas d'être extrêmement ambitieux pour mon pays"

Édouard Philippe a ensuite expliqué que cette maladie "peut se déclencher très jeune ou très vieux". "Ça n'est ni douloureux, ni dangereux, ni contagieux, ni grave", a assuré l'ancien Premier ministre d'Emmanuel Macron.

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"J’ai la chance de pouvoir dire à ceux qui souffrent d’alopécie que l’essentiel, ça n’est pas la façon dont on les regarde, c’est ce qu’ils sont", a-t-il cependant assuré, en relativisant : "J’en souffre à 52 ans, mais il y a des gens qui sont frappés d’alopécie à 15 ans […]. C’est facile pour moi, j’ai de la chance". 

Et d'admettre que le stress, l'une des causes possibles de l'alopécie, pourrait avoir été un élément déclencheur chez lui : "Je vous confirme que j’ai une vie stressante. Évidemment que vous êtes stressé quand vous exercez des responsabilités", a-t-il admis. 

Édouard Philippe a néanmoins rassuré ses partisans sur l'impact que pourrait avoir l'alopécie sur son avenir politique : "Ça ne m'empêche pas d'être extrêmement ambitieux pour ma ville. Ça ne m'empêche pas d'être extrêmement ambitieux pour mon pays", a-t-il assuré avant de conclure son entretien sur une touche d'ironie. "C'est une histoire de poils, après tout".

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