Dix personnes, dont deux militaires, sont toujours en garde à vue dans l'enquête sur un vaste trafic d'armes. Quelque 200 armes ont été saisies après avoir servi à des trafiquants de drogue ou des sympathisants de l'ultra-droite. Et il semblerait que les deux militaires avaient un rôle central au sein du réseau.
Le réseau n'aurait peut-être pas existé sans les compétences de ces deux personnes. Les deux militaires sont en poste, l'un au ministère de la Défense, l'autre dans une caserne de la Meuse. Ce serait eux qui ont remis les armes en état de fonctionner, car le réseau achetait des fusils d'assaut et des pistolets-mitrailleurs à des collectionneurs privés. Les armes étaient démilitarisées, il fallait les remettre en marche.
Avec l'aide d'un ancien soldat, interpellé lui aussi mardi 12 janvier, les deux militaires se seraient chargés de trouver une partie des clients pour écouler leur stock. Ils auraient démarché des passionnés d'armes proches de l'ultra-droite. Le reste du réseau gérait la revente d'armes auprès des narcotrafiquants.
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