Depuis 2013, "une vingtaine de personnes ont été écartées" des services de gendarmerie pour signes de radicalisation, a annoncé ce lundi 14 octobre Richard Lizurey, directeur général de la gendarmerie nationale. Une quinzaine d'autres sont toujours "surveillées", a-t-il ajouté.
Selon le ministère de l'Intérieur, sur les vingt personnes mises l'écart, six ont été révoquées. Parmi les personnels sous surveillance, certains "savent qu'ils sont surveillés, d'autres pas", a précisé Richard Lizurey sur Cnews. Ceux qui sont soupçonnés de s'être radicalisés sont des "candidats" et des fonctionnaires de "tout statut."
Depuis l'attaque à la préfecture de police de Paris, la radicalisation au sein des services publics inquiète et fait débat. Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a demandé que toutes les alertes liées à la radicalisation fassent désormais "l'objet d'un signalement automatique."
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte