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Terrorisme : une vingtaine de gendarmes, soupçonnés de radicalisation, écartés

Richard Lizurey, le directeur général de la gendarmerie nationale, a annoncé ce lundi 14 octobre qu'une vingtaine de personnels de gendarmerie de tout statut avaient été écartés et une quinzaine sont toujours sous surveillance.

Un gendarme (illustration)

Crédit : MYCHELE DANIAU / AFP

AFP

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Depuis 2013, "une vingtaine de personnes ont été écartées" des services de gendarmerie pour signes de radicalisation, a annoncé ce lundi 14 octobre Richard Lizurey, directeur général de la gendarmerie nationale. Une quinzaine d'autres sont toujours "surveillées", a-t-il ajouté. 
Selon le ministère de l'Intérieur, sur les vingt personnes mises l'écart, six ont été révoquées. Parmi les personnels sous surveillance, certains "savent qu'ils sont surveillés, d'autres pas", a précisé Richard Lizurey sur Cnews. Ceux qui sont soupçonnés de s'être radicalisés sont des "candidats" et des fonctionnaires de "tout statut." 

Depuis l'attaque à la préfecture de police de Paris, la radicalisation au sein des services publics inquiète et fait débat. Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a demandé que toutes les alertes liées à la radicalisation fassent désormais "l'objet d'un signalement automatique." 

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