Docteurs meurtriers, amants vengeurs... 5 podcasts sur les célèbres criminels empoisonneurs

Le poison a tout de l'arme idéale. Silencieux, lent, sournois, mortel… Celui-ci a été au cœur d'innombrables crimes. Une arme si efficace qu'on pourrait parfois parler de "crime parfait". 

Assassinat au cyanure, surdosage de médicaments, intoxications… Toutes les formules sont bonnes pour créer le cocktail explosif. Et certains criminels sont même devenus experts en la matière. 

Ils s'appelaient Alexandre Despallières, ou Thomas Neill Cream... Ces empoisonneurs en série ont longtemps usé de cette arme discrète. Si discrète que ces hommes sont longtemps passés sous les radars des autorités, en semant, sur leur passage, de nombreuses morts troublantes. 
  
Cette semaine, "L'Heure du Crime" revient sur ces affaires criminelles où le poison s'est retrouvé au cœur des crimes les plus redoutables.   

Charles Missenard : goutte à goutte mortel à la clinique Eich

Charles Missenard est-il le plus cynique des empoisonneurs ou s'est-il retrouvé happé par une machine judiciaire infernale ? Cet homme est devenu le coupable sans preuve, sans mobile et sans témoin, d'un assassinat au cyanure. Celui de sa femme Beatriz. Un crime qu'il a toujours démenti. 

L'affaire Maylis Daubon : la maison aux mensonges empoisonnés

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Dans le huis clos d'un appartement de Dax, une mère possessive s'est emparé du destin de ses filles. Pendant des années, cette femme a jugé que ces dernières souffraient de graves pathologies, au point de les abreuver de médicaments. La fille aînée, tout juste dix-huit ans, aurait ainsi succombé à une intoxication massive de bêtabloquants.

L'affaire du docteur Cream : la valise aux poisons

Son nom complet est Thomas Neill Cream. À la fin du XIXe siècle, ce docteur a fait trembler le Canada et l'Angleterre, en passant maître dans l'art des poisons les plus violents. Ce serial empoisonneur a pris un diabolique plaisir à séduire des femmes et à les imaginer mourir dans d'atroces souffrances. Pas moins de dix victimes ont été recensées. 

Affaire Kazkaz à l'insuline

1990, la petite Caroline est hospitalisée pour une tumeur pancréatite sécrétant de l'insuline. Mais constatant que son état de santé continuait de s'aggraver malgré une ablation d'un bout du pancréas, les médecins concluent que quelqu'un, dans son entourage, continue de lui injecter de l'insuline pour l'empêcher de guérir.

Alexandre Despallières, empoisonneur en série ?

En mars 2013, un ténor du barreau est retrouvé mort au large de son île privée en Bretagne. Dans son ombre papillonne un gigolo à la beauté magnétique et au passé trouble, soupçonné d'être un empoisonneur en série. 

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