La police n'a toujours pas mis la main sur ceux qui ont saboté le réseau SNCF. Juste avant le début des Jeux olympiques, dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 juillet, des câbles avaient été coupés et incendiés à divers endroits du réseau des lignes TGV. La circulation des trains avait été fortement perturbée. Un mois après, une piste reste plus que privilégiée par les enquêteurs.
Des activistes d'ultra-gauche sont soupçonnés d'avoir voulu profiter, à l'époque, de l'exposition médiatique de la cérémonie d'ouverture des JO pour tenter de déstabiliser le pays. Un enquêteur explique à RTL que ces militants sont très au fait des techniques policières. Ils prennent rarement leur portable et évitent les lieux surveillés par des caméras.
Lors d'une précédente affaire de sabotage, les enquêteurs ont remarqué que certains suspects échangeaient leurs sous-vêtements afin de multiplier les traces ADN et brouiller les pistes. Pour le moment, aucune interpellation n'a été réalisée. Des montagnes de données sont à analyser pour retrouver les auteurs de ces sabotages.
Les enquêteurs doivent élargir le cercle des recherches, plusieurs kilomètres autour des lieux. Ces paramètres augmentent considérablement la liste des connexions téléphoniques à étudier ainsi que le nombre de véhicules potentiellement suspects.
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