Après Pharrell Williams, Rihanna, Aerosmith ou encore Adele, ce mardi c'est au tour de Neil Young de s'en prendre à Donald Trump. Le chanteur va poursuivre en justice l'équipe de campagne du président américain pour la présidentielle de novembre, afin de l'empêcher de jouer ses chansons lors de meetings électoraux, selon une plainte publiée mardi sur son site.
L'artiste de 74 ans s'estime victime d'une violation de ses droits d'auteur pour l'utilisation sans son consentement des morceaux Rockin' In The Free World et Devil's Sidewalk à plusieurs rassemblements de Donald Trump, dont son récent meeting à Tulsa, dans l'Oklahoma. Neil Young "ne peut, en son âme et conscience, permettre que sa musique serve de support à une campagne d'ignorance et de haine, conflictuelle et anti-américaine", indique le texte de la plainte.
Cette dernière n'est pas datée, mais montre que les avocats du chanteur et guitariste s'apprêtent à la déposer auprès d'un tribunal fédéral de New York. Neil Young demande jusqu'à 150.000 dollars de dommages et intérêts pour chaque infraction. Le chanteur a dit en février que le milliardaire républicain était "une honte" pour les États-Unis, au moment d'apporter son soutien au candidat socialiste à la Maison Blanche Bernie Sanders.
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