Depuis la mi-journée, l'inquiétude croissante autour de la centrale nucléaire Ukrainienne de Zaporijjia est encore montée d'un cran. L'opérateur de cette centrale, un groupe public Ukrainien, parle clairement de risque de "pulvérisation de substances radioactives". La plus grande centrale d'Europe est au cœur des discussions entre la Russie et l'Ukraine, qui s'accusent mutuellement de bombardements sur le site.
L'Agence internationale de l'énergie atomique réclame une inspection rapide, qui est toujours en cours de discussion du côté russe. Emmanuelle Galichet, chercheuse en physique nucléaire, tient à rappeler que "les informations sont invérifiables". Pour la scientifique, en prenant en compte les informations actuellement disponibles, il n'y a pas de risques de catastrophe nucléaire.
L'opérateur parle aussi de fuite d'hydrogène. Pour Emmanuelle Galichet, "encore une fois, c'est invérifiable. Quand le réacteur est en fonctionnement, il peut y avoir des dégagements d'hydrogène à l'intérieur du cœur. Mais là encore, ça me paraît extrêmement peu probable dans l'état actuel de nos informations."
Bien que peu de risques majeurs menacent directement, "il faut absolument arrêter cet enchaînement de tirs sur cette centrale et il faut arrêter de la prendre pour un objet de guerre. Que les inspecteurs puissent aller vérifier toutes les installations est absolument indispensable", explique-t-elle.
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