Plus de deux mois après son lancement, près de 800 restaurants parisiens sur un total de 18.000 figurent sur la carte du site du ministère de l'Agriculture où sont recensées les données mises à disposition du public. À Paris, ces données restent disponibles trois mois après le contrôle, contre un an à Avignon. Le dispositif, expérimenté jusqu'au 31 décembre avant d'être généralisé début 2016, prévoit trois niveaux d'hygiène: "bon", "acceptable" et "à améliorer".
Premier enseignement mis en avant par François Carlier, de la CLCV : les restaurants mal notés d'un point de vue de l'hygiène ne sont pas seulement ceux qui font de la restauration rapide. Cela concerne aussi des établissements haut de gamme. Autre enseignement : du fait que rien n’oblige le restaurateur à afficher les résultats obtenus lors du dernier contrôle sur sa porte ou sa vitrine, peu mettent en avant cette mention.
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