1 min de lecture
VIDÉO - Philippe Caverivière : "Si on commence à nommer les bâtiments en fonction des condamnations, ça va faire bizarre"
Dans sa chronique, ce mercredi 1er octobre, Philippe Caverivière a notamment imaginé l'existence d'un "centre des impôts Cahuzac" ou d'un "centre de Pilates Gérard Larcher".
Philippe Caverivière au micro de RTL, ce mercredi 1er octobre.
Crédit : RTL
Je m'abonne à la newsletter « Infos »
Le choix du maire de Nice interroge. Christian Estrosi a récemment déclaré qu'il comptait donner le nom de Nicolas Sarkozy au futur parvis de l'hôtel des polices municipales et nationales. Cette annonce de l'édile est intervenue quelques jours après la condamnation de l'ancien président de la République à cinq ans de prison dans l'affaire du "financement libyen" de sa campagne présidentielle de 2007.
Cette annonce de Christian Estrosi a fait réagir Philippe Caverivière, ce mercredi 1er octobre. "Si on commence à nommer les bâtiments en fonction des condamnations, ça va faire bizarre les explications dans les rues", a souligné l'humoriste dans sa chronique. Il a ensuite laissé parler son imagination.
"Alors le parvis de Sarkozy, c'est simple. Vous prenez à droite du centre des impôts Cahuzac. Vous allez voir tout de suite, il y a l'école primaire Morandini et il y a la stèle féministe Gérard Miller. Ou alors, vous passez par le centre de Pilates Gérard Larcher, mais je ne sais pas si c'est ouvert".
- Philippe Caverivière : "Michel Barnier, un des derniers politiques de droite à ne pas avoir de casier judiciaire, une espèce en voie de disparition"
- Philippe Caverivière : "En 2007, est-ce que Nicolas Sarkozy avait vraiment besoin de financements libyens pour battre Ségolène Royal ?"
- Philippe Caverivière : "Thomas Sotto, il a fait une Léa Salamé. Demander 'ça va ?' en interview, c'est comme la panenka en football"
- Philippe Caverivière : "Dupond-Moretti, plus grand avocat français devenu ministre, a réussi à diviser son salaire par 14"
