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Philippe Caverivière : "Michel Barnier, un des derniers politiques de droite à ne pas avoir de casier judiciaire, une espèce en voie de disparition"

Dans sa chronique, mardi 30 septembre, Philippe Caverivière est revenu sur l’élection de Michel Barnier comme député de la deuxième circonscription de Paris.

Philippe Caverivière

Crédit : RTL

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Philippe Caverivière : "Michel Barnier, un des derniers politiques de droite à ne pas avoir de casier judiciaire, une espèce en voie de disparition"

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Michel Barnier a été élu, lundi 29 septembre, député de la deuxième circonscription de Paris. Philippe Caverivière est revenu sur cette victoire de l'ancien Premier ministre qui signe son retour sur les bancs de l'Assemblée nationale.

"Quand on reçoit Michel Barnier, on reçoit l'un des derniers hommes politiques de droite à ne pas avoir de casier judiciaire. Et ça, c'est une espèce en voie de disparition, une espèce protégée par Greenpeace. Faut pas l’emmerder sinon Paul Watson débarque. Le zoo de Beauval nous a contactés pour Michel !", a ironisé l’humoriste sur RTL face à l'ex-locataire de Matignon.

Il s’est ensuite amusé du faible taux de participation lors de cette législative partielle. Seul un quart des inscrits ont voté : "Les trois autres quarts avaient autre chose à faire, c’est le problème des blindés. Ce dimanche, ils étaient tous à Deauville : 25% en voilier, 32% au golf, 17% au polo !"

Philippe Caverivière a aussi dressé un portrait ironique de la circonscription parisienne : "La deuxième circonscription, c’est la té-ci des ches-ri, le ghetto des blindos, une péninsule monégasque dans Paris. C’est un peu la planque." "Une fois que la taxe Zucman sera passée, il n’y aura plus personne dans les rues. Ils seront tous barrés", a-t-il prévenu.

Enfin, il s’est interrogé sur le rôle de Michel Barnier à l’Assemblée nationale après cette législative partielle : "Est-ce que ça veut dire que vous êtes un député partiel et que vous ne devez aller à l'Assemblée qu'une fois sur trois ou quatre, un peu comme Bardella au Parlement européen ?"

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