VIDÉO - Philippe Caverivière : "La souffrance de Gisèle Pélicot était trop grande pour des vannes"
Philippe Caverivière réagit à l'affaire des viols de Mazan. Il salue notamment la dignité de Gisèle Pélicot et se moque de la défense de certains accusés.
Très calme depuis le début du procès de Dominique Pélicot et de cinquante autres hommes accusés d’avoir violé Gisèle Pélicot, Philippe Caverivière estime que “la souffrance” de cette femme était “trop grande” pour “des vannes”. Ce jeudi 24 octobre, il a réagi aux propos de Me Antoine Camus au micro de RTL pour évoquer cette affaire.
“Il y a peu de choses positives dans cette affaire. Si, peut-être une : le procès se termine le 20 décembre, si Dominique, le mari cinéaste amateur, est libéré, ils pourront tous passer Noël en famille”, plaisante-t-il.
Philippe Caveriviere remet surtout en cause la défense de certains prévenus. L’un des accusés a raté l’accouchement de sa femme pour se rendre au domicile de la famille Pélicot : “Il y a peu de chances pour qu’il obtienne le prix du père de l’année, ça ne sent pas la couv’ de Psychologies Magazine pour 2025”. L’avocate d’un autre accusé à assuré que son client était “passionné de randonnées et de relations extra conjugales”. L’humoriste voit ça d’un autre œil : “Ne le tentez pas à un premier rendez-vous romantique avec une fille : ‘Moi mes deux passions c’est le houla et le fist fucking, la marelle et la golden shower, le ping-pong et le gang bang et toi ? Euh moi je vais y aller’.”
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